Hasbro, le créateur du Monopoly, a des velléités d'achat sur Mattel, à qui l'on doit les poupées Barbie. Deux géants du secteur des jouets donc, dont le rapprochement ferait de la nouvelle entité un mastodonte du marché. L'objectif de Hasbro est clair : peser sur les négociations avec Hollywood pour l'adaptation cinématographiques des franchises potentiellement très lucratives que possèdent l'un et l'autre fabricant de jouets.
Ce n'est pas la première fois que l'on entend ces deux entreprises s'intéresser au secteur du cinéma. En 2014, Hasbro avait tenté d'acheter DreamWorks Animation, sans succès. Et Mattel avait l'intention de s'offrir le studio Lionsgate Entertainment, là sans aussi sans que les discussions n'aboutissent. Les deux fabricants de jouets veulent investir le secteur du cinéma et de la télévision pour décliner à l'infini leurs licences sur tous les écrans. Le marché du jouet est en effet en recul, Mattel ayant publié des résultats trimestriels décevants et prévenu que ses objectifs de revenus ne seraient pas atteint cette année.
Ni Hasbro ni Mattel n'ont confirmé ce projet de consolidation, même si une source proche du dossier au sein de Hasbro a confirmé la volonté de l'entreprise d'acheter son concurrent. Les investisseurs ne s'y sont pas trompés : eux aussi voient la consolidation d'un bon œil. Les cours des actions des deux entreprises ont grimpé après la clôture de la Bourse de 24% pour Mattel, et de 3,3% pour Hasbro. Une progression qui va peut-être pousser la direction de Mattel à se rapprocher de son prétendant.
Ce n'est pas la première fois que l'on entend ces deux entreprises s'intéresser au secteur du cinéma. En 2014, Hasbro avait tenté d'acheter DreamWorks Animation, sans succès. Et Mattel avait l'intention de s'offrir le studio Lionsgate Entertainment, là sans aussi sans que les discussions n'aboutissent. Les deux fabricants de jouets veulent investir le secteur du cinéma et de la télévision pour décliner à l'infini leurs licences sur tous les écrans. Le marché du jouet est en effet en recul, Mattel ayant publié des résultats trimestriels décevants et prévenu que ses objectifs de revenus ne seraient pas atteint cette année.
Ni Hasbro ni Mattel n'ont confirmé ce projet de consolidation, même si une source proche du dossier au sein de Hasbro a confirmé la volonté de l'entreprise d'acheter son concurrent. Les investisseurs ne s'y sont pas trompés : eux aussi voient la consolidation d'un bon œil. Les cours des actions des deux entreprises ont grimpé après la clôture de la Bourse de 24% pour Mattel, et de 3,3% pour Hasbro. Une progression qui va peut-être pousser la direction de Mattel à se rapprocher de son prétendant.