En attendant d'atteindre les 10 euros du paquet (ce devrait être le cas en novembre 2020), les prix continuent d'augmenter. Ce lundi 20 août, les prix s'harmonisent entre les différentes marques, ce qui explique la hausse de quelques centimes pour certains paquets. C'est le cas pour les Winfield (bleu, vert et rouge) dont les prix passent de 7,70 à 7,90 euros. Le prix moyen demeure autour de 7,90 euros, même s'il existe une ventilation tarifaire importante allant de 7,60 à 9,30 euros.
Selon l'arrêté publié dans le Journal officiel du 31 juillet, « près de la moitié des paquets de 20 cigarettes a toujours un prix égal ou supérieur à 8 euros ». L'augmentation du jour reste relativement indolore pour les fumeurs, mais gare : en avril prochain, les prix vont s'envoler de 50 centimes en moyenne. Il faudra alors s'interroger très sérieusement sur son addiction au tabac, au risque d'y laisser encore plus de plumes…
En mars de cette année, les prix avaient déjà fortement augmenté (de 1 euro en moyenne). Cette stratégie de hausse des prix donne des résultats probants : les ventes de tabac ont en effet reculé de 20% depuis cette dernière augmentation. La désaffection des Français pour les cigarettes est une bonne nouvelle pour la santé publique, moins pour les buralistes qui doivent se réinventer.
Selon l'arrêté publié dans le Journal officiel du 31 juillet, « près de la moitié des paquets de 20 cigarettes a toujours un prix égal ou supérieur à 8 euros ». L'augmentation du jour reste relativement indolore pour les fumeurs, mais gare : en avril prochain, les prix vont s'envoler de 50 centimes en moyenne. Il faudra alors s'interroger très sérieusement sur son addiction au tabac, au risque d'y laisser encore plus de plumes…
En mars de cette année, les prix avaient déjà fortement augmenté (de 1 euro en moyenne). Cette stratégie de hausse des prix donne des résultats probants : les ventes de tabac ont en effet reculé de 20% depuis cette dernière augmentation. La désaffection des Français pour les cigarettes est une bonne nouvelle pour la santé publique, moins pour les buralistes qui doivent se réinventer.