Le mois de novembre est donc un soulagement pour l’industrie automobile en France. Car les mois de septembre et surtout d’octobre avaient montré un fléchissement qui auraient pu grever sérieusement la croissance encourageante enregistrée depuis le début de l’année (respectivement -2,5% et -4%).
Le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA) se veut maintenant rassurant : la croissance pour 2016 devrait tourner autour des 5%, un chiffre dans les clous de sa prévision annuelle. Le nombre d’immatriculations neuves vendues en France depuis le début de l’année pourrait atteindre voire dépasser le seuil symbolique des 2 millions de véhicules. Depuis janvier, il s’est vendu 1,82 million d’unités ; l’an dernier, le marché avait atteint 1,91 million d’immatriculations neuves.
Parmi les constructeurs ayant connu les meilleures performances, il convient de saluer Renault avec une croissance extrêmement solide de 23,3% de ses ventes, notamment portées par Dacia (+60,4%). C’est la soupe à la grimace en revanche pour le groupe Peugeot, dont les ventes baissent de 2,8%. La marque haut de gamme DS flanche sévèrement, avec une baisse de près de 25%. Malgré tout, les constructeurs français s’accaparent 54% du marché tricolore.
Le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA) se veut maintenant rassurant : la croissance pour 2016 devrait tourner autour des 5%, un chiffre dans les clous de sa prévision annuelle. Le nombre d’immatriculations neuves vendues en France depuis le début de l’année pourrait atteindre voire dépasser le seuil symbolique des 2 millions de véhicules. Depuis janvier, il s’est vendu 1,82 million d’unités ; l’an dernier, le marché avait atteint 1,91 million d’immatriculations neuves.
Parmi les constructeurs ayant connu les meilleures performances, il convient de saluer Renault avec une croissance extrêmement solide de 23,3% de ses ventes, notamment portées par Dacia (+60,4%). C’est la soupe à la grimace en revanche pour le groupe Peugeot, dont les ventes baissent de 2,8%. La marque haut de gamme DS flanche sévèrement, avec une baisse de près de 25%. Malgré tout, les constructeurs français s’accaparent 54% du marché tricolore.