Et la tendance se prolonge au mois de juillet, puisque le taux moyen hors assurance s’est établi à 1,55%, d’après le baromètre Crédit Logement / CSA. C’est plus bas encore qu’en juin, où ce même taux avait été de 1,62% – et on pensait déjà à l’époque qu’il s’agissait d’un niveau très bas. Mais les acheteurs pourraient être bien avisés d’attendre encore, puisque les taux moyens devraient poursuivre leur chute encore en septembre, et sans doute encore tout cet automne.
À quoi attribuer ce recul ? Deux raisons sont avancées par les spécialistes. La première, c’est que les banques n’ont pas atteint leurs objectifs de la période. L’an dernier à la même époque, ces objectifs étaient déjà remplis à 70%, et il avait fallu ralentir quelque peu le rythme des prêts. Rien de tout cela en 2016, ce qui permet aux banques de faire assaut de crédits immobilier à des taux toujours plus bas.
L’autre raison tient dans les opérations d’assouplissement monétaire des banques centrales. La BCE en particulier inonde littéralement les établissements financiers de liquidités afin de relancer l’inflation. Ces largesses permettent aux banques de se montrer plus généreuses en termes de prêts immobiliers.
À quoi attribuer ce recul ? Deux raisons sont avancées par les spécialistes. La première, c’est que les banques n’ont pas atteint leurs objectifs de la période. L’an dernier à la même époque, ces objectifs étaient déjà remplis à 70%, et il avait fallu ralentir quelque peu le rythme des prêts. Rien de tout cela en 2016, ce qui permet aux banques de faire assaut de crédits immobilier à des taux toujours plus bas.
L’autre raison tient dans les opérations d’assouplissement monétaire des banques centrales. La BCE en particulier inonde littéralement les établissements financiers de liquidités afin de relancer l’inflation. Ces largesses permettent aux banques de se montrer plus généreuses en termes de prêts immobiliers.