Rapporté à l'ensemble de la France, le taux de chômage baisse de 0,1 point, pour un total de 9,1% de la population active. Sur les douze derniers mois, le chômage recule de 0,3 point. La France compte 2,7 millions de personnes au deuxième trimestre, selon les chiffres compilés par l'Insee, qui s'appuie sur les recommandations du Bureau international du travail (considérées plus fiables que les mesures de Pôle Emploi). En ce qui concerne la seule métropole, le chômage recule de 2,6 points chez les jeunes, de 0,3 point pour les 25-49 ans, et il reste stable pour la catégorie des 50 ans et plus.
Toujours pour ce qui concerne la France métropolitaine, le nombre de chômeurs a baissé en un an de 105 000 personnes ; la perspective est encore meilleure en prenant deux ans de recul (-250 000 chômeurs), et trois ans (-376 000 chômeurs). L'Insee relève aussi que le nombre de personnes souhaitant un emploi mais qui ne s'inscrivent pas dans les règles du BIT recule également. Enfin, le taux d'emploi demeure élevé, tout cela étant finalement de bon augure pour le reste de l'année… même si tous les voyants ne sont pas au vert.
La croissance clignote en effet orange depuis janvier, ce qui ralentit le rythme de création des emplois alors que la population active continue d'augmenter. En bout de course, l'Insee prévoit un taux de chômage de 8,8% pour la fin de l'année, ce qui est loin d'être suffisant. Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, a d'ailleurs estimé que le reflux du chômage n'était pas assez rapide, ce qui précipitera peut-être les réformes en cours, sur l'assurance-chômage et la formation professionnelle par exemple.
Toujours pour ce qui concerne la France métropolitaine, le nombre de chômeurs a baissé en un an de 105 000 personnes ; la perspective est encore meilleure en prenant deux ans de recul (-250 000 chômeurs), et trois ans (-376 000 chômeurs). L'Insee relève aussi que le nombre de personnes souhaitant un emploi mais qui ne s'inscrivent pas dans les règles du BIT recule également. Enfin, le taux d'emploi demeure élevé, tout cela étant finalement de bon augure pour le reste de l'année… même si tous les voyants ne sont pas au vert.
La croissance clignote en effet orange depuis janvier, ce qui ralentit le rythme de création des emplois alors que la population active continue d'augmenter. En bout de course, l'Insee prévoit un taux de chômage de 8,8% pour la fin de l'année, ce qui est loin d'être suffisant. Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, a d'ailleurs estimé que le reflux du chômage n'était pas assez rapide, ce qui précipitera peut-être les réformes en cours, sur l'assurance-chômage et la formation professionnelle par exemple.