Bien mal acquis ne profite jamais… sauf en ce qui concerne les Stories d’Instagram ! Cette fonction permet de créer de courtes histoires composées de photos et de vidéos, à agrémenter d’autocollants et de légendes, que l’on partage ensuite avec ses correspondants pour une durée de 24 heures. Un concept au succès fulgurant imaginé par Snapchat, et qui est aujourd’hui cloné à l’envi par Facebook sur toutes ses applications : Instagram donc, mais aussi WhatsApp, Messenger et même sa propre app mobile.
Mais c’est sur Instagram que les Stories fonctionnent le mieux. La fonction compte en effet plus de 200 millions d’utilisateurs par jour, c’est plus que sur Snapchat, le créateur du concept original. Au dernier trimestre de l’an passé, la messagerie instantanée comptait en effet 158 millions d’utilisateurs actifs chaque jour, et tous ne faisaient pas nécessairement usage des Stories.
L’implantation de cette fonction au sein d’Instagram est un bon coup pour Facebook. L’application a su la populariser très rapidement auprès de ses quelques 600 millions d’utilisateurs quotidiens. Pour Snapchat en revanche, c’est un mauvais coup : la société éditrice, Snap, est entrée en Bourse et elle a besoin de multiplier les utilisateurs pour vendre de la publicité. Aux débuts de Snapchat, Facebook avait tenté d’acquérir la jeune application avec un chèque de plusieurs milliards de dollars, sans y parvenir. La vengeance est un plat qui se mange froid…
Mais c’est sur Instagram que les Stories fonctionnent le mieux. La fonction compte en effet plus de 200 millions d’utilisateurs par jour, c’est plus que sur Snapchat, le créateur du concept original. Au dernier trimestre de l’an passé, la messagerie instantanée comptait en effet 158 millions d’utilisateurs actifs chaque jour, et tous ne faisaient pas nécessairement usage des Stories.
L’implantation de cette fonction au sein d’Instagram est un bon coup pour Facebook. L’application a su la populariser très rapidement auprès de ses quelques 600 millions d’utilisateurs quotidiens. Pour Snapchat en revanche, c’est un mauvais coup : la société éditrice, Snap, est entrée en Bourse et elle a besoin de multiplier les utilisateurs pour vendre de la publicité. Aux débuts de Snapchat, Facebook avait tenté d’acquérir la jeune application avec un chèque de plusieurs milliards de dollars, sans y parvenir. La vengeance est un plat qui se mange froid…