Le phénomène ChatGPT
ChatGPT, le « robot » capable de produire des textes d'une étonnante acuité, fait un malheur depuis son lancement à la fin de l'année dernière. À tel point d'ailleurs qu'il provoque déjà des remous dans certains milieux, dans la presse et l'éducation notamment. OpenAI, le créateur de ce bot, attise les convoitises de nombreuses grandes entreprises des technologies mais c'est Microsoft qui part avec une longueur d'avance.
L'éditeur logiciel à l'origine de Windows et d'Office a en effet annoncé un investissement de plusieurs milliards de dollars dans OpenAI. La rumeur a évoqué le montant de dix milliards de dollars. Microsoft a également renouvelé un contrat pluriannuel pour « accélérer les avancées en matière d'intelligence artificielle ». Les technologies d'OpenAI pourraient se retrouver au sein des différents logiciels du groupe.
L'éditeur logiciel à l'origine de Windows et d'Office a en effet annoncé un investissement de plusieurs milliards de dollars dans OpenAI. La rumeur a évoqué le montant de dix milliards de dollars. Microsoft a également renouvelé un contrat pluriannuel pour « accélérer les avancées en matière d'intelligence artificielle ». Les technologies d'OpenAI pourraient se retrouver au sein des différents logiciels du groupe.
De l'intelligence artificielle dans les logiciels Microsoft
Microsoft va ainsi intégrer OpenAI dans ses outils de développement : les développeurs vont pouvoir créer des applications basées sur une intelligence artificielle de pointe, « grâce à un accès direct aux modèles OpenAI ». Côté grand public, le moteur de recherche Bing va lui aussi pouvoir répondre directement aux questions des internautes.
Microsoft a aussi annoncé une amélioration des supercalculateurs exploités par Azure, son service d'hébergement cloud, afin qu'ils soient optimisés pour les besoins d'OpenAI. Le tapis rouge est donc dressé sous les pieds de cette start-up, déjà à l'origine de l'étonnant générateur d'images DALL-E.
Microsoft a aussi annoncé une amélioration des supercalculateurs exploités par Azure, son service d'hébergement cloud, afin qu'ils soient optimisés pour les besoins d'OpenAI. Le tapis rouge est donc dressé sous les pieds de cette start-up, déjà à l'origine de l'étonnant générateur d'images DALL-E.