Pierre Moscovici est confiant quant aux prévisions de croissance de 0,9 % pour 2014.
L'institut national de la statistique détaille notamment que le PIB, après une hausse surprise de 0,5 % au deuxième trimestre, devrait stagner au troisième trimestre, pour enfin renouer avec la hausse, de 0,4 %, au quatrième trimestre.
Mais la véritable nouvelle positive c'est que la France devrait retrouver, en fin d'année, le PIB en volume qui était le sien au début de la crise, en 2008. Jusqu'ici, seule l'Allemagne a réussi cet exploit parmi les principaux pays d'Europe. Dans les chiffres, cela correspond donc à une croissance de 0,2 %, ce qui est évidemment mieux que la croissance espérée par le gouvernement, à savoir 0,1 %.
Bercy s'est évidemment félicité d'un tel constat et le ministre des Finances, Pierre Moscovici, envisage même de dépasser l'estimation de croissance prévue pour 2014, à savoir 0,9 %. L'Insee a toutefois averti que de tels résultats ne signifiaient pas que la crise est effacée.
En témoigne les autres résultats de l'Insee. L'institut national de la statistique envisage notamment un recul de 0,4 % pour la production manufacturière au troisième trimestre. De même qu'un repli du pouvoir d'achat se ferait également attendre pour les deux trimestre à venir, de 0,1 et 0,2 %. A noter toutefois que sur l'ensemble de l'année 2013, ce pouvoir d'achat devrait afficher une hausse de 0,5 %.
Enfin, l'Insee rappelle qu'une croissance de 0,9 %, envisagée pour 2014, ne suffira pas à relancer l'emploi, dans le secteur marchand.
Mais la véritable nouvelle positive c'est que la France devrait retrouver, en fin d'année, le PIB en volume qui était le sien au début de la crise, en 2008. Jusqu'ici, seule l'Allemagne a réussi cet exploit parmi les principaux pays d'Europe. Dans les chiffres, cela correspond donc à une croissance de 0,2 %, ce qui est évidemment mieux que la croissance espérée par le gouvernement, à savoir 0,1 %.
Bercy s'est évidemment félicité d'un tel constat et le ministre des Finances, Pierre Moscovici, envisage même de dépasser l'estimation de croissance prévue pour 2014, à savoir 0,9 %. L'Insee a toutefois averti que de tels résultats ne signifiaient pas que la crise est effacée.
En témoigne les autres résultats de l'Insee. L'institut national de la statistique envisage notamment un recul de 0,4 % pour la production manufacturière au troisième trimestre. De même qu'un repli du pouvoir d'achat se ferait également attendre pour les deux trimestre à venir, de 0,1 et 0,2 %. A noter toutefois que sur l'ensemble de l'année 2013, ce pouvoir d'achat devrait afficher une hausse de 0,5 %.
Enfin, l'Insee rappelle qu'une croissance de 0,9 %, envisagée pour 2014, ne suffira pas à relancer l'emploi, dans le secteur marchand.