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Chuck Blazer, ancien secrétaire général de la Concacaf, la confédération du football en Amérique du Nord, Amérique centrale et Caraïbes, est devenu informateur pour les autorités américaines. Il était un des responsables de la FIFA les plus influents pour l’attribution de la Coupe du Monde, et il n’hésitait pas à demander des commissions et des pots-de-vins pour « faciliter » les choses.
Surnommé « monsieur 10% » dans le milieu (le pourcentage de commission qu’il réclamait), il a déclaré devant un juge américain en 2013 que les attributions de l’organisation de la Coupe du Monde en 1998 en France, ainsi qu’en 2010 en Afrique du Sud l’ont été sur des bases de corruption. On manque encore de chiffres actuellement, mais le soupçon est désormais de mise.
Ces révélations, qui seront sans nul doute suivies par d’autres, jettent une ombre sur la FIFA et les pays organisateurs, qui devront à leur tour mener l’enquête pour démêler le vrai du faux.
Surnommé « monsieur 10% » dans le milieu (le pourcentage de commission qu’il réclamait), il a déclaré devant un juge américain en 2013 que les attributions de l’organisation de la Coupe du Monde en 1998 en France, ainsi qu’en 2010 en Afrique du Sud l’ont été sur des bases de corruption. On manque encore de chiffres actuellement, mais le soupçon est désormais de mise.
Ces révélations, qui seront sans nul doute suivies par d’autres, jettent une ombre sur la FIFA et les pays organisateurs, qui devront à leur tour mener l’enquête pour démêler le vrai du faux.