Depuis le début de l’année, le secteur a ainsi enregistré 7 000 immatriculations neuves de véhicules électriques. Le marché est stimulé depuis janvier par la Zoe, petite citadine de Renault ; sur le seul mois de janvier, le constructeur comptait 2 563 unités vendues, soit une progression remarquable de 53,5% par rapport à janvier 2016.
Si on y ajoute les voitures hybrides, le marché français a atteint les 117 000 immatriculations neuves. L’Hexagone rejoint ici la Norvège, qui a franchi ce seuil en décembre dernier. L’Association pour le développement de la mobilité électrique prévoit plus de 350 000 véhicules en circulation à l’horizon 2020. Cette expansion implique le déploiement de bornes de recharge, et les industriels s’attellent à la tâche : d’après le pointage du ministère de l’Écologie, 15 883 bornes sont ouvertes au public au 1er janvier 2017.
Parmi les raisons qui expliquent ce succès des voitures électriques et hybrides en France, on trouve évidemment les incitations fiscales. Les dispositifs permettant d’économiser sur l’achat d’un véhicule non ou peu polluants sont nombreux et avantageux, à l’instar de la prime à la conversion des anciens véhicules diesel ou le bonus/malus écologique. Sans oublier la vignette Crit’air qui permet, à Paris, de circuler en voiture électrique même pendant les pics de pollution.
Si on y ajoute les voitures hybrides, le marché français a atteint les 117 000 immatriculations neuves. L’Hexagone rejoint ici la Norvège, qui a franchi ce seuil en décembre dernier. L’Association pour le développement de la mobilité électrique prévoit plus de 350 000 véhicules en circulation à l’horizon 2020. Cette expansion implique le déploiement de bornes de recharge, et les industriels s’attellent à la tâche : d’après le pointage du ministère de l’Écologie, 15 883 bornes sont ouvertes au public au 1er janvier 2017.
Parmi les raisons qui expliquent ce succès des voitures électriques et hybrides en France, on trouve évidemment les incitations fiscales. Les dispositifs permettant d’économiser sur l’achat d’un véhicule non ou peu polluants sont nombreux et avantageux, à l’instar de la prime à la conversion des anciens véhicules diesel ou le bonus/malus écologique. Sans oublier la vignette Crit’air qui permet, à Paris, de circuler en voiture électrique même pendant les pics de pollution.