Le CAC40, à Paris, affiche une progression de 1,59% ; le Dax allemand gagne 1,52% ; le Footsie anglais prend 1,19%… Ces indicateurs au beau fixe sont les conséquences directes des déclarations de la patronne de la Fed. Devant la Chambre des représentants, Janet Yellen a vanté la robustesse de l'économie américaine, qui pourra supporter des hausses progressives des taux d'intérêt, ainsi que la réduction des acquisitions d'actifs de la Réserve fédérale. Quant aux taux, ils ne devraient pas augmenter « tant que cela ».
La présidente de la Fed a montré de la confiance, et surtout son discours ne laisse pas entrevoir de hausse substantielle des taux d'intérêt. La prudence reste donc de mise au sein de la Réserve, qui devrait poursuivre sa politique monétaire toujours très accommodante — celle-là même qui a permis à l'économie américaine de se redresser ces dernières années.
Sur le marché des changes, on observe un retour à une certaine normalisation suite à la sortie de la crise financière de 2008. La Banque du Canada a ainsi relevé ses taux, une première en sept ans qui a profité au dollar canadien : celui-ci a atteint son plus haut face au dollar américain depuis dix mois. La livre sterling aussi s'est renforcée face au dollar et à l'euro, mais pour des raisons inverses, la Banque d'Angleterre n'ayant pas l'intention de relever ses taux.
La présidente de la Fed a montré de la confiance, et surtout son discours ne laisse pas entrevoir de hausse substantielle des taux d'intérêt. La prudence reste donc de mise au sein de la Réserve, qui devrait poursuivre sa politique monétaire toujours très accommodante — celle-là même qui a permis à l'économie américaine de se redresser ces dernières années.
Sur le marché des changes, on observe un retour à une certaine normalisation suite à la sortie de la crise financière de 2008. La Banque du Canada a ainsi relevé ses taux, une première en sept ans qui a profité au dollar canadien : celui-ci a atteint son plus haut face au dollar américain depuis dix mois. La livre sterling aussi s'est renforcée face au dollar et à l'euro, mais pour des raisons inverses, la Banque d'Angleterre n'ayant pas l'intention de relever ses taux.