L'information, rapportée par un journal indien, n'a pas été confirmée. Ce qui l'est en revanche, c'est que le gouvernement indien recueillera dans les deux prochaines semaines les offres pour la prise de participation d'Air India, une compagnie publique pour laquelle l'État indien s'est résolu à vendre une partie de ses parts. Cela fait des années que les autorités essaient de trouver la rentabilité pour cette entreprise, sans y parvenir. Plutôt que de continuer à financer ce puit sans fond, le gouvernement indien a donc décidé de laisser sa chance à des entreprises privées.
Il reste cependant un point important à évacuer : celui de la dette du groupe public. Il se monte à 8,5 milliards de dollars, et les pouvoirs publics indiens n'ont encore rien décidé sur le sujet. Ce sera surveillé de près par les prétendants, dont ce consortium formé par Air France-KLM, Delta et Jet Airways. Ces entreprises ne sont pas seules sur les rangs : plusieurs sociétés indiennes ont fait part de leur intérêt comme Tata Group et IndiGo, ou encore l'entreprise turque Celebi Aviation.
Cette indiscrétion selon laquelle Air France-KLM serait intéressé par Air India intervient au moment même où Emmanuel Macron achève sa première visite officielle en Inde. Ce n'est sans doute pas un hasard, au moment où la France et l'Inde cherchent à resserrer leurs liens commerciaux et stratégiques. Cependant, il reste encore à voir combien ce consortium est prêt à mettre sur la table.
Il reste cependant un point important à évacuer : celui de la dette du groupe public. Il se monte à 8,5 milliards de dollars, et les pouvoirs publics indiens n'ont encore rien décidé sur le sujet. Ce sera surveillé de près par les prétendants, dont ce consortium formé par Air France-KLM, Delta et Jet Airways. Ces entreprises ne sont pas seules sur les rangs : plusieurs sociétés indiennes ont fait part de leur intérêt comme Tata Group et IndiGo, ou encore l'entreprise turque Celebi Aviation.
Cette indiscrétion selon laquelle Air France-KLM serait intéressé par Air India intervient au moment même où Emmanuel Macron achève sa première visite officielle en Inde. Ce n'est sans doute pas un hasard, au moment où la France et l'Inde cherchent à resserrer leurs liens commerciaux et stratégiques. Cependant, il reste encore à voir combien ce consortium est prêt à mettre sur la table.