L'autorité qui organise les transports en commun en Ile-de-France a voté plusieurs mesures en vue de moderniser et surtout de dématérialiser l'accès au métro, aux bus et aux tramways à Paris. Parmi ces nouveaux dispositifs, une « carte anonyme » semblable à la carte Oyster très utilisée à Londres. Il s'agit d'un passe Navigo, mais sans abonnement. Les usagers pourront recharger cette carte d'un Ticket+ de métro, un carnet de tickets, un billet Orlybus… La validation de ce moyen de transport, qu mise destine aux visiteurs et aux Franciliens, passera par un système sans contact. Le coût de ce dispositif reste en revanche à discuter.
La mise en place de cette carte anonyme (son nom est à l'étude) débutera en 2019. La SNCF devra aussi faire les efforts nécessaires pour mettre les valideurs des gares à niveau. IDFM a également voté pour la mise en place du paiement par smartphone : les téléphones équipés d'une puce NFC pourront recharger les futures cartes de transport et ils permettront de passer les portiques dans les stations de métro et les gares. Une solution simple et efficace, qui a fait ses preuves dans d'autres métropoles européennes et dans le monde, et qui manquait à Paris et dans la région.
Le syndicat va maintenant discuter avec les opérateurs afin d'obtenir un espace sur les cartes SIM qu'ils distribuent à leurs clients. IDFM investira 6 millions d'euros pour la période 2019 à 2021 pour ce dispositif. Une expérimentation débutera dès cette année, mais c'est à partir de l'année prochaine que de nombreux usagers pourront en profiter : ils seront 900 000 dans un premier temps, pour passer à 3 millions rapidement.
La mise en place de cette carte anonyme (son nom est à l'étude) débutera en 2019. La SNCF devra aussi faire les efforts nécessaires pour mettre les valideurs des gares à niveau. IDFM a également voté pour la mise en place du paiement par smartphone : les téléphones équipés d'une puce NFC pourront recharger les futures cartes de transport et ils permettront de passer les portiques dans les stations de métro et les gares. Une solution simple et efficace, qui a fait ses preuves dans d'autres métropoles européennes et dans le monde, et qui manquait à Paris et dans la région.
Le syndicat va maintenant discuter avec les opérateurs afin d'obtenir un espace sur les cartes SIM qu'ils distribuent à leurs clients. IDFM investira 6 millions d'euros pour la période 2019 à 2021 pour ce dispositif. Une expérimentation débutera dès cette année, mais c'est à partir de l'année prochaine que de nombreux usagers pourront en profiter : ils seront 900 000 dans un premier temps, pour passer à 3 millions rapidement.