Les Français partiront moins loin
Les vacances des Français risquent de ne pas ressembler à ce qu'ils avaient prévu. Un sondage, réalisé par les Villages Vacances (VVF), relayé par RTL, montre que la moitié (52%) des personnes interrogées ont l'intention de changer leurs plans pour les congés du printemps et de l'été. 39% ont l'intention de partir moins loin que ce qu'ils avaient en tête, quand 7% utiliseront un moyen de transport moins cher, comme le train ou le covoiturage.
6% des Français sondés vont repousser leur départ et 2% ont tout simplement l'intention d'annuler leurs projets de vacances. La cause de ces changements de pied : le prix des carburants, dont l'augmentation continue depuis le début de l'année, contraint fortement le pouvoir d'achat des automobilistes, malgré les mesures de compensation des pouvoirs publics.
6% des Français sondés vont repousser leur départ et 2% ont tout simplement l'intention d'annuler leurs projets de vacances. La cause de ces changements de pied : le prix des carburants, dont l'augmentation continue depuis le début de l'année, contraint fortement le pouvoir d'achat des automobilistes, malgré les mesures de compensation des pouvoirs publics.
Les vacanciers privilégieront la France
La guerre en Ukraine va pousser de nombreux Français à rester dans les frontières de leur pays durant les vacances. Le climat autour des hostilités n'est guère propice aux voyages en Europe ou à l'étranger, selon le sondage. 75% des Français interrogés ont décidé de ne pas franchir les frontières hexagonales pour leurs prochaines vacances.
Outre les prix du carburant à la pompe, les Français doivent aussi faire face à des hausses des tarifs tous azimuts sur l'énergie en général (électricité, gaz), sans oublier les produits du quotidiens et notamment les produits alimentaires. Avec un pouvoir d'achat qui fond à vue d'œil, pas étonnant que l'arbitrage s'opère en défaveur des vacances.
Outre les prix du carburant à la pompe, les Français doivent aussi faire face à des hausses des tarifs tous azimuts sur l'énergie en général (électricité, gaz), sans oublier les produits du quotidiens et notamment les produits alimentaires. Avec un pouvoir d'achat qui fond à vue d'œil, pas étonnant que l'arbitrage s'opère en défaveur des vacances.