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Avec un euro valant 1,1780 dollar ce mercredi 14 janvier, la monnaie européenne descendait sous le seuil de son cours d'introduction : le 4 janvier 1999, il valait en effet 1,1789 dollar. Et cette baisse continue depuis quelques mois devrait se poursuivre jusqu'à atteindre la parité, croient deviner les experts et les banques.
Si ces derniers ne sont pas forcément d'accord sur le moment où la parité entre les deux principales devises de la planète atteindront la parité, il ne fait cependant aucun doute qu'à terme, 1 euro équivaudra peu ou prou à 1 dollar. Une situation pas si inédite : après son lancement et pendant deux ans, l'euro a été sous la ligne de flottaison du dollar, avant de devenir la monnaie forte que l'on sait.
Si, en termes politique et de pouvoir d'achat des touristes, une monnaie forte est un atout, économiquement parlant ce n'est pas forcément très intéressant. La parité permet aux entreprises exportatrices de gagner mécaniquement en compétitivité et de remporter des parts de marché. C'est aussi un moyen de relancer l'activité et, pour ce qui concerne l'Europe, de lutter contre la déflation.
Baisse de l'euro, pétrole bon marché, mesures de relance au niveau européen et national : avec tout cela, le gouvernement ne devrait pas avoir trop de mal à atteindre le pour-cent de croissance pronostiqué cette année.
Si ces derniers ne sont pas forcément d'accord sur le moment où la parité entre les deux principales devises de la planète atteindront la parité, il ne fait cependant aucun doute qu'à terme, 1 euro équivaudra peu ou prou à 1 dollar. Une situation pas si inédite : après son lancement et pendant deux ans, l'euro a été sous la ligne de flottaison du dollar, avant de devenir la monnaie forte que l'on sait.
Si, en termes politique et de pouvoir d'achat des touristes, une monnaie forte est un atout, économiquement parlant ce n'est pas forcément très intéressant. La parité permet aux entreprises exportatrices de gagner mécaniquement en compétitivité et de remporter des parts de marché. C'est aussi un moyen de relancer l'activité et, pour ce qui concerne l'Europe, de lutter contre la déflation.
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