En raison de la maintenance de plusieurs centrales nucléaires, la production électrique française a baissé l'an dernier : elle s'établit à 531,3 térawatts heure (TWh), soit un recul de 2,8% par rapport à 2015. Comme prévu, et fort logiquement, la part qui revient à la production nucléaire est en baisse sensible de 7% ; elle a représenté 384 TWh. Ce recul a été en partie compensé par une progression des énergies renouvelables.
L'hydraulique en particulier a connu une hausse sensible de 8,2%, dans un volume de 63,9 TWh. L'éolien a représenté l'an dernier 20,7 TWh, un résultat en baisse de 1,8%, tandis que le solaire a bénéficié d'un regain de production de 11,3%… mais dans un volume de seulement 8,3 TWh. Un cinquième de l'énergie produite en France l'an dernier provient des renouvelables, souligne RTE. Le groupe a d'ailleurs investi 1,5 milliard d'euros pour répondre aux défis de la transition énergétique.
La consommation d'électricité est elle en hausse. Les ménages et les entreprises ont consommé 483 TWh en 2016, un chiffre en progression de 1,5%. Sans tenir compte des aléas climatiques, cette consommation est de 10 TWh en moins, mais les températures froides de l'hiver expliquent le différentiel importante. La situation a d'ailleurs été « délicate et inédite » pour RTE, qui a fait appel ponctuellement à l'importation d'électricité et aux mesures d'économies.
L'hydraulique en particulier a connu une hausse sensible de 8,2%, dans un volume de 63,9 TWh. L'éolien a représenté l'an dernier 20,7 TWh, un résultat en baisse de 1,8%, tandis que le solaire a bénéficié d'un regain de production de 11,3%… mais dans un volume de seulement 8,3 TWh. Un cinquième de l'énergie produite en France l'an dernier provient des renouvelables, souligne RTE. Le groupe a d'ailleurs investi 1,5 milliard d'euros pour répondre aux défis de la transition énergétique.
La consommation d'électricité est elle en hausse. Les ménages et les entreprises ont consommé 483 TWh en 2016, un chiffre en progression de 1,5%. Sans tenir compte des aléas climatiques, cette consommation est de 10 TWh en moins, mais les températures froides de l'hiver expliquent le différentiel importante. La situation a d'ailleurs été « délicate et inédite » pour RTE, qui a fait appel ponctuellement à l'importation d'électricité et aux mesures d'économies.