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Les dépenses publicitaires en ligne dépasseront celles de la télévision d'ici à 2018, prévient une étude de l'agence ZenithOptimedia. Un retournement de situation guetté depuis de nombreuses années.
La filiale de Publicis prévoit que la publicité à la télévision représentera 34,8% des dépenses du marché en 2018. Celles réalisées sur internet atteindront les 38,6%. Et quand on parle d'internet, c'est en particulier le web mobile et sur smartphone qui est particulièrement visé par cette croissance : en 2018, plus de la moitié (50,2%) des investissements publicitaires sur internet seront réalisés sur mobile.
Autant dire que le film publicitaire d'une durée standard de 30 secondes a vécu ses belles années. Place au ciblage le plus fin possible du consommateur et aux publicités personnalisées que seul internet autorise. Néanmoins, pour le marché français, les publicités télé feront jeu égal avec les pubs sur internet (32,9% chaque) d'ici 2018. La télévision reste ce média très puissant, qui permet de parler au plus grand nombre ; surtout, le coût de l'investissement, en baisse, est accessible.
Il faudra par contre que les diffuseurs occupent le terrain de la vidéo mobile et acquiert des studios de production seuls à même de multiplier le contenu — un contenu qu'il sera plus que jamais facile de monétiser.
La filiale de Publicis prévoit que la publicité à la télévision représentera 34,8% des dépenses du marché en 2018. Celles réalisées sur internet atteindront les 38,6%. Et quand on parle d'internet, c'est en particulier le web mobile et sur smartphone qui est particulièrement visé par cette croissance : en 2018, plus de la moitié (50,2%) des investissements publicitaires sur internet seront réalisés sur mobile.
Autant dire que le film publicitaire d'une durée standard de 30 secondes a vécu ses belles années. Place au ciblage le plus fin possible du consommateur et aux publicités personnalisées que seul internet autorise. Néanmoins, pour le marché français, les publicités télé feront jeu égal avec les pubs sur internet (32,9% chaque) d'ici 2018. La télévision reste ce média très puissant, qui permet de parler au plus grand nombre ; surtout, le coût de l'investissement, en baisse, est accessible.
Il faudra par contre que les diffuseurs occupent le terrain de la vidéo mobile et acquiert des studios de production seuls à même de multiplier le contenu — un contenu qu'il sera plus que jamais facile de monétiser.