Ces résultats fournis par la Caisse des Dépôts sont une nouvelle preuve de l'engouement des épargnants français pour le Livret A. Certes, il ne rapporte pas grand chose (le taux a été maintenu à 0,75% en juillet, malgré une augmentation de l'inflation ces derniers mois), mais les Français donnent l'impression de redécouvrir ce véhicule d'épargne. Depuis le début de l'année, la collecte nette est en effet positive à 10,58 milliards d'euros, contre 970 millions d'euros seulement l'an dernier à la même époque.
Cette collecte positive du mois de juillet signe le huitième mois consécutif dans le vert pour le Livret A. Une tendance suivie par son proche cousin, le Livret de développement durable (LDD), dont la collecte nette a atteint les 200 millions d'euros au mois de juillet. À la même époque en 2016, la collecte du LDD avait été nulle. Ensemble, les deux livrets ont généré des collectes de 12,64 milliards d'euros depuis janvier. Un contraste saisissant avec le résultat enregistré l'an dernier : 720 millions.
Le Livret A et le LDD ont plusieurs atouts ; certes, ce n'est pas leur taux de rémunération qui en font d'intéressants produits d'épargne. Ils se rattrapent néanmoins par leur sûreté, ils sont assurés par l'État et surtout, ils sont défiscalisés. Des arguments qui font mouche auprès d'épargnants qui sont peut-être, pour certains, échaudés par des produits d'investissements plus rémunérateurs… mais plus volatils également.
Cette collecte positive du mois de juillet signe le huitième mois consécutif dans le vert pour le Livret A. Une tendance suivie par son proche cousin, le Livret de développement durable (LDD), dont la collecte nette a atteint les 200 millions d'euros au mois de juillet. À la même époque en 2016, la collecte du LDD avait été nulle. Ensemble, les deux livrets ont généré des collectes de 12,64 milliards d'euros depuis janvier. Un contraste saisissant avec le résultat enregistré l'an dernier : 720 millions.
Le Livret A et le LDD ont plusieurs atouts ; certes, ce n'est pas leur taux de rémunération qui en font d'intéressants produits d'épargne. Ils se rattrapent néanmoins par leur sûreté, ils sont assurés par l'État et surtout, ils sont défiscalisés. Des arguments qui font mouche auprès d'épargnants qui sont peut-être, pour certains, échaudés par des produits d'investissements plus rémunérateurs… mais plus volatils également.