Nuisance sonores pénibles
Les nuisances sonores sur le lieu de travail sont très mal vécues par près de 6 salariés sur 10, selon une étude de l’Ifop. Un chiffre de 7 points supérieurs à celui enregistré en 2017. Le bruit au travail, au bureau ou sur le chantier, a des conséquences négatives pour 67% des salariés interrogés. Plus de la moitié (54%) estime que cela entraîne de la fatigue, de la lassitude et de l’irritabilité.
Pour 46% des actifs, ces nuisantes provoquent du stress. Pour un quart d’entre eux, elles représentent même une souffrance psychologique. Autant dire qu’en cette semaine de la santé auditive au travail, il y a encore beaucoup à faire pour réduire le mal de vivre et de travailler dans le bruit.
Pour 46% des actifs, ces nuisantes provoquent du stress. Pour un quart d’entre eux, elles représentent même une souffrance psychologique. Autant dire qu’en cette semaine de la santé auditive au travail, il y a encore beaucoup à faire pour réduire le mal de vivre et de travailler dans le bruit.
Souffrances physiques
Les conséquences des nuisances sonores peuvent aussi être physiques : un tiers des salariés subissent une gêne momentanée, un quart doit même vivre avec des acouphènes. Pour près de 2 actifs sur 10, l’exposition prolongée au bruit a pour conséquence des symptômes de surdité.
L’exposition aux nuisances augmente, selon la Dares, le service statistique du ministère du Travail. Dans le tertiaire et les services notamment, elle progresse avec un quart des salariés souffrant du bruit. Dans les bureaux, ce sont les imprimantes et les machines qui gênent le plus (20%). Sur les chantiers, ce sont les bruits de matériels qui sont le plus souvent cités (33%).
L’exposition aux nuisances augmente, selon la Dares, le service statistique du ministère du Travail. Dans le tertiaire et les services notamment, elle progresse avec un quart des salariés souffrant du bruit. Dans les bureaux, ce sont les imprimantes et les machines qui gênent le plus (20%). Sur les chantiers, ce sont les bruits de matériels qui sont le plus souvent cités (33%).