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Michel Sapin, ministre des Finances, et ses équipes, travaillent à simplifier la fiscalité. Un sujet récurrent qui revient sur le devant de l'actualité alors que le patronat est dans la rue, que le ras-le-bol des prélèvements trop élevés est de plus en plus fort, et qu'il pourrait manquer jusqu'à 11,5 milliards d'euros dans les caisses pour 2014, la faute en revenant à des impôts et des taxes qui ne rentrent plus.
Ce loi de simplification fiscale, qui pourrait voir le jour d'ici la fin de l'année prochaine, rentre dans le cadre plus global du « choc de simplification » voulu par le Président de la République. Les contours sont encore loin d'être précisés (ce devrait être le cas en février), et la portée de ces mesures n'est donc pas connue. Mais l'idée est de simplifier la fiscalité, pour les particuliers comme pour les entreprises.
En revanche, des questions beaucoup plus épineuses comme le prélèvement à la source, véritable serpent de mer des derniers gouvernements, ou encore la fusion de la CSG avec l'impôt sur le revenu ne devraient pas être abordées. De fait, la portée de cette réforme sera limitée.
Ce loi de simplification fiscale, qui pourrait voir le jour d'ici la fin de l'année prochaine, rentre dans le cadre plus global du « choc de simplification » voulu par le Président de la République. Les contours sont encore loin d'être précisés (ce devrait être le cas en février), et la portée de ces mesures n'est donc pas connue. Mais l'idée est de simplifier la fiscalité, pour les particuliers comme pour les entreprises.
En revanche, des questions beaucoup plus épineuses comme le prélèvement à la source, véritable serpent de mer des derniers gouvernements, ou encore la fusion de la CSG avec l'impôt sur le revenu ne devraient pas être abordées. De fait, la portée de cette réforme sera limitée.