Le mouvement des « gilets jaunes » pousse le gouvernement à demander des efforts aux entreprises afin de favoriser le pouvoir d’achat. Il en va de même pour les sociétés concessionnaires des autoroutes, qui doivent procéder à la hausse des péages au 1er février. La ministre des Transports les a appelées à « entendre l'attente forte qui s'exprime en faveur du pouvoir d'achat, et à faire des propositions à la hauteur dans le cadre de leurs politiques tarifaire et commerciale ». Plusieurs pistes sont sur la table comme la prise en compte des trajets réguliers entre le domicile et le travail : pour ces automobilistes, un examen approfondi de leur situation va être mis en place.
Le ministère met aussi en garde les concessionnaires qui voudraient faire évoluer leurs tarifs de manière défavorable pour les automobilistes : « Toute initiative de court terme qui s'avérerait défavorable aux usagers sur le long terme ne peut pas constituer une solution crédible ». Elisabeth Borne prévient que l’État tiendra compte des contrats qui lient les pouvoirs publics aux sociétés d’autoroutes. Ces dernières seraient prêtes à geler leurs tarifs contre un allongement de leurs concessions.
Un point sur la situation a été fait vendredi dernier, durant lequel les entreprises qui gèrent les autoroutes ont déploré le manque à gagner engendré par la crise des « gilets jaunes » : les manifestants ont organisé des « péages gratuits » qui ont représenté un manque à gagner important, ils s’en sont aussi pris à leurs installations. « Les forces de l'ordre demeurent pleinement mobilisées et le gouvernement continuera d'être d'une fermeté totale à l'égard de ceux qui commettent de tels actes », a assuré la ministre.
Le ministère met aussi en garde les concessionnaires qui voudraient faire évoluer leurs tarifs de manière défavorable pour les automobilistes : « Toute initiative de court terme qui s'avérerait défavorable aux usagers sur le long terme ne peut pas constituer une solution crédible ». Elisabeth Borne prévient que l’État tiendra compte des contrats qui lient les pouvoirs publics aux sociétés d’autoroutes. Ces dernières seraient prêtes à geler leurs tarifs contre un allongement de leurs concessions.
Un point sur la situation a été fait vendredi dernier, durant lequel les entreprises qui gèrent les autoroutes ont déploré le manque à gagner engendré par la crise des « gilets jaunes » : les manifestants ont organisé des « péages gratuits » qui ont représenté un manque à gagner important, ils s’en sont aussi pris à leurs installations. « Les forces de l'ordre demeurent pleinement mobilisées et le gouvernement continuera d'être d'une fermeté totale à l'égard de ceux qui commettent de tels actes », a assuré la ministre.