Cet indicateur s'est monté à 57,8 pour le mois de février : c'est bien plus que la moyenne de longue période (53,9), mais c'est aussi moins bien qu'en janvier (59,6) et que le consensus des économistes (59,4). Rappelons que le seuil de 50,0 distingue la croissance de la contraction de l'activité ; l'indice PMI composite, qui prend en charge les services et le secteur manufacturier, a continuellement évolué au-dessus de ce cap depuis le mois de juin 2016.
Le coup de mou, relatif, observé en février est le fait des deux secteurs d'activité mesurés : l'indice des services a reculé à 57,9 (59,2 en janvier), celui du secteur manufacturier s'est affiché à 56,1 (58,4 en janvier). Le consensus des analystes planchaient sur des hypothèses de respectivement 59,0 et 58,0. Ces niveaux, en baisse certes, n'en demeurent pas moins très élevés. La progression des commandes reste forte, même si elle a baissé. Dans ce contexte, les embauches se poursuivent puisque les entreprises ont besoin de main d'œuvre pour répondre à la demande. Les créations d'emplois se multiplient depuis l'automne 2016.
Quant au degré de confiance des chefs d'entreprise, il est au plus haut depuis le printemps 2017. Et pour cette année, l'optimisme est de rigueur et les embauches ne devraient pas réduire leur rythme. De quoi donner corps aux prévisions du gouvernement qui prévoit une bonne année en termes de croissance et d'emploi.
Le coup de mou, relatif, observé en février est le fait des deux secteurs d'activité mesurés : l'indice des services a reculé à 57,9 (59,2 en janvier), celui du secteur manufacturier s'est affiché à 56,1 (58,4 en janvier). Le consensus des analystes planchaient sur des hypothèses de respectivement 59,0 et 58,0. Ces niveaux, en baisse certes, n'en demeurent pas moins très élevés. La progression des commandes reste forte, même si elle a baissé. Dans ce contexte, les embauches se poursuivent puisque les entreprises ont besoin de main d'œuvre pour répondre à la demande. Les créations d'emplois se multiplient depuis l'automne 2016.
Quant au degré de confiance des chefs d'entreprise, il est au plus haut depuis le printemps 2017. Et pour cette année, l'optimisme est de rigueur et les embauches ne devraient pas réduire leur rythme. De quoi donner corps aux prévisions du gouvernement qui prévoit une bonne année en termes de croissance et d'emploi.