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Le FMI apprécie tout particulièrement le choix de Gian Carlo Padoan au poste de ministre de l’Economie de l’Italie. Gerry Rice, porte-parole du Fonds Monétaire International, a commenté sa nomination en déclarant que « Gian Carlo Padoan était très respecté quand il était membre de l’exécutif du FMI ».
Matteo Renzi obtient également le soutien du Fonds Monétaire International qui donne « la bienvenue a certaines réformes qu’il a présentées lors de son intervention au Parlement ». En particulier, la réforme du marché du travail est une réforme « clé ». Le FMI prévient toutefois que « la mise en place des réformes est la clé pour la croissante italienne ».
Ce qui a particulièrement plus à l’organe international c’est la ligne directrice du nouveau Premier ministre de la péninsule italienne qui s’inscrit dans « les réformes économiques et structurelles proposées dans les discussions de ces dernières années ».
Toutefois, sans manque de précisions, les réformes annoncées ne l’ont été que lors d’un discours, le FMI reste en attente d’avoir plus d’informations. Mais le nouveau gouvernement italien peut déjà se valoir d’avoir fait mouche et d’avoir obtenu, au moins à première vue, un soutien qui pourrait faire la différence dans la tentative de redresser le pays.
Matteo Renzi obtient également le soutien du Fonds Monétaire International qui donne « la bienvenue a certaines réformes qu’il a présentées lors de son intervention au Parlement ». En particulier, la réforme du marché du travail est une réforme « clé ». Le FMI prévient toutefois que « la mise en place des réformes est la clé pour la croissante italienne ».
Ce qui a particulièrement plus à l’organe international c’est la ligne directrice du nouveau Premier ministre de la péninsule italienne qui s’inscrit dans « les réformes économiques et structurelles proposées dans les discussions de ces dernières années ».
Toutefois, sans manque de précisions, les réformes annoncées ne l’ont été que lors d’un discours, le FMI reste en attente d’avoir plus d’informations. Mais le nouveau gouvernement italien peut déjà se valoir d’avoir fait mouche et d’avoir obtenu, au moins à première vue, un soutien qui pourrait faire la différence dans la tentative de redresser le pays.