Depuis plusieurs mois, les automobilistes ont pris l'habitude des prix en hausse à la pompe. Hélas pour eux, la tendance est toujours présente, du moins en ce qui concerne la semaine passée. Le ministère de la Transition écologique et solidaire a en effet relevé une augmentation des tarifs dans les stations-services. C'est le cas du gazole, en hausse de 1,93 centime par rapport à la semaine précédente. Le carburant le plus vendu en France (il représente 80% des volumes) coûte désormais 1,4227 euro du litre.
Les données hebdomadaires du ministère relève également une hausse du super sans plomb 95 de 2,89 centimes : le litre de SP95 revient ainsi à 1,5207 euro. Le sans plomb 95 qui contient jusqu'à 10% d'éthanol (SP95-E10) coûte maintenant 1,5207 euro, soit une hausse de 2,37 centimes. Enfin, le sans plomb 98 (SP98) confirme cette tendance hebdomadaire à la hausse avec une progression de 1,38 centime, soit 1,5852 euro du litre.
Plusieurs paramètres sont à prendre en compte pour expliquer la variation des prix à la pompe. L'état des stocks, le taux de change entre l'euro et le dollar, les taxes bien sûr, et les cours du baril de pétrole. À cela s'ajoute des événements conjoncturels qui tirent les prix vers le haut, ainsi la production est actuellement perturbée en raison des tensions avec l'Iran, la tempête en Louisiane, ou encore l'offre de pétrole russe qui baisse.
Les données hebdomadaires du ministère relève également une hausse du super sans plomb 95 de 2,89 centimes : le litre de SP95 revient ainsi à 1,5207 euro. Le sans plomb 95 qui contient jusqu'à 10% d'éthanol (SP95-E10) coûte maintenant 1,5207 euro, soit une hausse de 2,37 centimes. Enfin, le sans plomb 98 (SP98) confirme cette tendance hebdomadaire à la hausse avec une progression de 1,38 centime, soit 1,5852 euro du litre.
Plusieurs paramètres sont à prendre en compte pour expliquer la variation des prix à la pompe. L'état des stocks, le taux de change entre l'euro et le dollar, les taxes bien sûr, et les cours du baril de pétrole. À cela s'ajoute des événements conjoncturels qui tirent les prix vers le haut, ainsi la production est actuellement perturbée en raison des tensions avec l'Iran, la tempête en Louisiane, ou encore l'offre de pétrole russe qui baisse.