Ces emplois sont souvent des CDI. Mieux encore, ces jeunes diplômés sont embauchés d'abord par des petites et moyennes entreprises. Selon la CGE, il s'agit du meilleur résultat depuis la crise financière de 2008. D'après l'enquête en effet, près de 9 diplômés 2016 sur 10 (86,5% exactement) ont trouvé un emploi dans les six mois après l'obtention de leur diplôme. En 2016, ce chiffre était de 83,1%. Plus on avance dans les années, plus on s'approche du plein emploi puisque la promotion 2015 affiche un taux d'emploi de 94%, et de 96,5% pour la promotion 2014.
Pour la promotion de 2016, ils sont 76% à avoir obtenu un contrat à durée indéterminée. L'année précédente, ce taux était de 74%. Quant aux contrats « cadre », le pourcentage ne bouge pas d'une année sur l'autre : il est de 85,2%. Les PME sont les premiers employeurs de ces jeunes diplômés, ce qui est une première : elles représentent en effet 31,7% des embauches, devant les grands groupes (31,3% des embauches), puis les entreprises de taille intermédiaire (28,9%).
En revanche, et c'est le point noir de cette enquête annuelle, la disparité entre les hommes et les femmes reste toujours d'actualité au niveau des rémunérations. Les jeunes femmes diplômées perçoivent un salaire de 2 000 euros bruts de moins que leurs homologues masculins. De même, alors que 83,4% des diplômés hommes ont décroché un CDI, elles ne sont que 72,5% à bénéficier du même traitement.
Pour la promotion de 2016, ils sont 76% à avoir obtenu un contrat à durée indéterminée. L'année précédente, ce taux était de 74%. Quant aux contrats « cadre », le pourcentage ne bouge pas d'une année sur l'autre : il est de 85,2%. Les PME sont les premiers employeurs de ces jeunes diplômés, ce qui est une première : elles représentent en effet 31,7% des embauches, devant les grands groupes (31,3% des embauches), puis les entreprises de taille intermédiaire (28,9%).
En revanche, et c'est le point noir de cette enquête annuelle, la disparité entre les hommes et les femmes reste toujours d'actualité au niveau des rémunérations. Les jeunes femmes diplômées perçoivent un salaire de 2 000 euros bruts de moins que leurs homologues masculins. De même, alors que 83,4% des diplômés hommes ont décroché un CDI, elles ne sont que 72,5% à bénéficier du même traitement.