Journal de l'Economie / Fotolia
Le cap maintenu, l’allure régulière, le voyage est au long cours. On aurait pu les croire cantonnées au cabotage ou à la petite plaisance fluviale, mais nombre d’entre elles ont depuis longtemps pris le large. Les entreprises familiales ont le vent en poupe, ne serait-ce que parce que l’équipage est fidèle au poste et le capitaine à la barre. On les imaginait désuètes, paternalistes et faiblardes ; elles se sont révélées pérennes, humaines et performantes.
Alors que nombre d’établissements disparaissent dans la tempête de 2008, les entreprises familiales ont prouvé la validité de leur modèle, fait de choix raisonnés à long terme, de gestion prudente et d’innovations permanentes. Mais l’entreprise familiale est encore trop souvent vue comme une incongruité, dans un paysage entrepreneurial désormais habitué à une gouvernance actionnariale désincarnée.
De capitaines d’industries en fleurons nationaux, les entreprises familiales comptent pourtant à leur bord nombre de pépites de l’économie tricolore qu’il s’agit désormais de promouvoir et de défendre. Cela passe par la reconnaissance et la diffusion de principes de gouvernance et de management différents, mais aussi par des éclaircissements sur les questions fiscales et réglementaires attachées à la transmission.
Il ne s’agirait pourtant pas qu’un coup de Trafalgar vienne couler leurs ambitions en matière de croissance et de développement.
Téléchargez gratuitement le troisième numéro de La Revue des Affaires
Alors que nombre d’établissements disparaissent dans la tempête de 2008, les entreprises familiales ont prouvé la validité de leur modèle, fait de choix raisonnés à long terme, de gestion prudente et d’innovations permanentes. Mais l’entreprise familiale est encore trop souvent vue comme une incongruité, dans un paysage entrepreneurial désormais habitué à une gouvernance actionnariale désincarnée.
De capitaines d’industries en fleurons nationaux, les entreprises familiales comptent pourtant à leur bord nombre de pépites de l’économie tricolore qu’il s’agit désormais de promouvoir et de défendre. Cela passe par la reconnaissance et la diffusion de principes de gouvernance et de management différents, mais aussi par des éclaircissements sur les questions fiscales et réglementaires attachées à la transmission.
Il ne s’agirait pourtant pas qu’un coup de Trafalgar vienne couler leurs ambitions en matière de croissance et de développement.
Téléchargez gratuitement le troisième numéro de La Revue des Affaires