Le tableau dressé par ce baromètre est cru, et déprimant. Plus de 8 Français sur dix redoutent ainsi que leurs enfants connaitront un jour la pauvreté. 55% d'entre eux estiment que leur vie quotidienne est menacée par la pauvreté. En 2007, avant la crise économique, ce chiffre était de 47%. Ces pourcentages et leur progression s'expliquent par la multiplication des emplois précaires et subis, ainsi que le chômage de masse.
Dans ces conditions difficiles, c'est la santé que l'on sacrifie en premier. Pour la moitié des ménages français dont le revenu mensuel net est moins de 1 200 euros, on a repoussé ou renoncé à la consultation chez le dentiste. cela représente un bond inquiétant de 22 points par rapport à 2008.
64% des personnes interrogées ont aussi indiqué rencontrer des difficultés pour régler des actes médicaux qui sont peu ou pas pris en charge par la Sécurité sociale. Il y a évidemment les mutuelles, mais quand les revenus sont trop bas, c'est très compliqué chez 53% des ménages ; de plus, près de la moitié d'entre eux ne parviennent pas à se nourrir sainement, ce qui n'arrange pas la santé du foyer.
Dans ces conditions difficiles, c'est la santé que l'on sacrifie en premier. Pour la moitié des ménages français dont le revenu mensuel net est moins de 1 200 euros, on a repoussé ou renoncé à la consultation chez le dentiste. cela représente un bond inquiétant de 22 points par rapport à 2008.
64% des personnes interrogées ont aussi indiqué rencontrer des difficultés pour régler des actes médicaux qui sont peu ou pas pris en charge par la Sécurité sociale. Il y a évidemment les mutuelles, mais quand les revenus sont trop bas, c'est très compliqué chez 53% des ménages ; de plus, près de la moitié d'entre eux ne parviennent pas à se nourrir sainement, ce qui n'arrange pas la santé du foyer.