(c) Shutterstock/EconomieMatin
Les derniers chiffres de l’Insee donnent en tout cas un peu d’espoir à ceux qui veulent espérer du mieux. Les dépenses en bien des ménages se sont en effet montées à 0,6% en janvier par rapport au mois de décembre. C’est d’autant plus prometteur que la consommation des ménages a été très dynamique en décembre, avec un rebond de 1,6%.
Encore plus impressionnant, en valeur les ménages ont dépensé 43,5 milliards d’euros sur le premier mois de l’année. C’est autant qu’en mars 2011. Et cet appétit de consommation profite à toutes les catégories de biens, qu’il s’agisse de l’automobile (+3,2%) que de l’équipement du logement (+1,4%). Les soldes ont également eu un rôle important durant cette période, puisque les ventes de textile ont connu leur quatrième mois de hausse (en volume).
Tout cela évoque fortement un scénario de croissance plutôt positif. D’ailleurs, si les mois de février et de mars étaient nuls, l’acquis de croissance de la consommation serait déjà de 1%. De fait, l’hypothèse d’une croissance générale de 0,3% pour le trimestre semble crédible. Si les coûts du pétrole et de l’énergie en général restent à leur niveau (c’est à dire assez bas), l’espoir est de mise pour le reste du trimestre. Quant au reste de l’année, il est encore trop tôt pour le dire.
Encore plus impressionnant, en valeur les ménages ont dépensé 43,5 milliards d’euros sur le premier mois de l’année. C’est autant qu’en mars 2011. Et cet appétit de consommation profite à toutes les catégories de biens, qu’il s’agisse de l’automobile (+3,2%) que de l’équipement du logement (+1,4%). Les soldes ont également eu un rôle important durant cette période, puisque les ventes de textile ont connu leur quatrième mois de hausse (en volume).
Tout cela évoque fortement un scénario de croissance plutôt positif. D’ailleurs, si les mois de février et de mars étaient nuls, l’acquis de croissance de la consommation serait déjà de 1%. De fait, l’hypothèse d’une croissance générale de 0,3% pour le trimestre semble crédible. Si les coûts du pétrole et de l’énergie en général restent à leur niveau (c’est à dire assez bas), l’espoir est de mise pour le reste du trimestre. Quant au reste de l’année, il est encore trop tôt pour le dire.