Ainsi en a décidé la Commission de la régulation de l'énergie (CRE), qui a annoncé la hausse ce mardi 25 octobre. Comme toujours, il y a des variations selon l'usage que l'on a du gaz. Pour les consommateurs qui l'utilisent pour la cuisson, la progression des prix se limite à 0,5%. Ceux qui s'en servent pour se chauffer verront la facture augmenter de 1,6%. Enfin, pour les consommateurs qui se chauffent et cuisinent au gaz, la hausse atteindra 1% tout rond.
Néanmoins, le prix du gaz ne cesse de baisser depuis le début de l'année : les tarifs réglementés ont ainsi reculé de 5,8%. De plus, en octobre, les prix avaient aussi baissé de 0,8% en moyenne. En bout de course, le consommateur reste donc gagnant même si cette hausse de novembre intervient alors que l'hiver est désormais là.
Cette variation est calculée à chaque premier du mois, selon une formule qui prend en compte l'évolution du coût d'approvisionnement d'Engie (l'opérateur s'attend à payer 0,8 euro de plus par MWh). L'équation prend également en compte, pour une certaine partie, les prix du pétrole qui sont actuellement très volatils. Mais ils sont eux aussi en hausse depuis cet été, en repassant au delà des 50 $ le baril.
Néanmoins, le prix du gaz ne cesse de baisser depuis le début de l'année : les tarifs réglementés ont ainsi reculé de 5,8%. De plus, en octobre, les prix avaient aussi baissé de 0,8% en moyenne. En bout de course, le consommateur reste donc gagnant même si cette hausse de novembre intervient alors que l'hiver est désormais là.
Cette variation est calculée à chaque premier du mois, selon une formule qui prend en compte l'évolution du coût d'approvisionnement d'Engie (l'opérateur s'attend à payer 0,8 euro de plus par MWh). L'équation prend également en compte, pour une certaine partie, les prix du pétrole qui sont actuellement très volatils. Mais ils sont eux aussi en hausse depuis cet été, en repassant au delà des 50 $ le baril.