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Vendredi 4 décembre, les ministres de l'Organisation des pays producteurs de pétrole ont échoué à mettre en place une stratégie de mise en place d'un plafond de brut. De fait, la production devrait continuer sur la même lancée, maintenant les prix au plus bas.
Ces prix n'ont d'ailleurs jamais été aussi peu élevés en sept ans : ils tournent actuellement autour de 40 $ le baril quel que soit l'indice, alors qu'il y a 18 mois, ils frôlaient les 115 $. Ce qui n'est pas très bon pour les pays de l'OPEP, l'est beaucoup plus pour leurs clients, qui bénéficient d'une énergie bon marché faisant mécaniquement augmenter le pouvoir d'achat des consommateurs.
Les prix pourraient rester à ce niveau dans les prochains mois ; la hausse des taux directeurs de la Fed américaine, attendue dans le courant de la semaine prochaine, va faire en sorte d'enchérir le coût du dollar. 2016 sera marquée par un brut toujours aussi abordable, ce qui représente une aubaine pour les pays européens en phase de reprise.
Ces prix n'ont d'ailleurs jamais été aussi peu élevés en sept ans : ils tournent actuellement autour de 40 $ le baril quel que soit l'indice, alors qu'il y a 18 mois, ils frôlaient les 115 $. Ce qui n'est pas très bon pour les pays de l'OPEP, l'est beaucoup plus pour leurs clients, qui bénéficient d'une énergie bon marché faisant mécaniquement augmenter le pouvoir d'achat des consommateurs.
Les prix pourraient rester à ce niveau dans les prochains mois ; la hausse des taux directeurs de la Fed américaine, attendue dans le courant de la semaine prochaine, va faire en sorte d'enchérir le coût du dollar. 2016 sera marquée par un brut toujours aussi abordable, ce qui représente une aubaine pour les pays européens en phase de reprise.