Cette étude, qui s'appuie sur l'analyse de 1,2 million de fiches de paie de salariés intérimaires ayant travaillé dans 32 000 entreprises, montre qu'en moyenne, leurs rémunérations a augmenté en moyenne de 0,9% par rapport à la même période de 2016. En janvier, le SMIC avait bénéficié d'un coup de pouce de 0,93% de la part du gouvernement. Un salarié non-cadre a touché 1 579 euros brut mensuel cette année, contre 1 565 euros l'an dernier. Évidemment, des disparités parfois importantes apparaissent quand on regarde les chiffres d'un peu plus près.
Ainsi, les ouvriers qualifiés sont parmi les grands bénéficiaires cette année, avec une hausse de salaire moyenne de 1,2%. Les ouvriers non qualifiés voient leur salaire progresser de 0,9%. Les employés doivent eux se contenter de 0,6% de hausse de salaire. Les professions ayant un statut de cadre (infirmières, enseignants) n'ont pas bénéficié de grand chose cette année en termes de hausse de salaire avec une maigre progression de 0,1%. Le salaire de ces derniers s'établit à 1 781 euros mensuel.
Les salaires progressent aussi différemment en fonction des secteurs d'activité. La hausse est ainsi plus forte dans l'industrie avec une progression de 1%, contre 0,7% dans les services et 0,8% dans la construction. Et là aussi, des disparités entre hommes et femmes se font jour : les salaires des premiers ont augmenté de 1%, alors que ceux de leurs collègues féminines ont augmenté de 0,7%.
Ainsi, les ouvriers qualifiés sont parmi les grands bénéficiaires cette année, avec une hausse de salaire moyenne de 1,2%. Les ouvriers non qualifiés voient leur salaire progresser de 0,9%. Les employés doivent eux se contenter de 0,6% de hausse de salaire. Les professions ayant un statut de cadre (infirmières, enseignants) n'ont pas bénéficié de grand chose cette année en termes de hausse de salaire avec une maigre progression de 0,1%. Le salaire de ces derniers s'établit à 1 781 euros mensuel.
Les salaires progressent aussi différemment en fonction des secteurs d'activité. La hausse est ainsi plus forte dans l'industrie avec une progression de 1%, contre 0,7% dans les services et 0,8% dans la construction. Et là aussi, des disparités entre hommes et femmes se font jour : les salaires des premiers ont augmenté de 1%, alors que ceux de leurs collègues féminines ont augmenté de 0,7%.