Emplois sauvés
La direction de GE avait mis sur la table deux propositions. La première sauvait 111 postes, la seconde 307 postes. C'est cette deuxième solution que les salariés du site de Belfort ont choisi. À l'origine, le plan social devait supprimer 792 emplois. La proposition a été approuvée par un millier de salariés de GE, qui ont voté à main levée.
Ce sont donc 307 postes qui ont été sauvés du plan initial. En contrepartie, les salariés ont aussi accepté un « plan de réductions de coûts et d’amélioration de la performance du site », selon les termes de la direction. De fait, 12 millions d'économies annuels devront être trouvés pour satisfaire le exigence de General Electric.
Ce sont donc 307 postes qui ont été sauvés du plan initial. En contrepartie, les salariés ont aussi accepté un « plan de réductions de coûts et d’amélioration de la performance du site », selon les termes de la direction. De fait, 12 millions d'économies annuels devront être trouvés pour satisfaire le exigence de General Electric.
Projet industriel
« L’avancée majeure, c’est qu’il y a un projet industriel qui va également être négocié d’ici à la fin de l’année », a expliqué devant la presse le porte-parole de l'intersyndicale CFE-CGC et SUD. Samedi dernier, avait eu lieu une manifestation d'importance à Belfort pour soutenir les salariés du site.
Une fois la proposition mise en œuvre, les effectifs du site de Belfort, qui produit des turbines à gaz, seront de 1 275 employés contre 1 800 dans cette activité. En tout, le groupe industriel américain emploie un total de 4 300 salariés à Belfort. En plus des 792 postes initiaux qui auraient dû être supprimés, GE avait annoncé la suppression d'un total de 1 050 emplois partout en France.
Une fois la proposition mise en œuvre, les effectifs du site de Belfort, qui produit des turbines à gaz, seront de 1 275 employés contre 1 800 dans cette activité. En tout, le groupe industriel américain emploie un total de 4 300 salariés à Belfort. En plus des 792 postes initiaux qui auraient dû être supprimés, GE avait annoncé la suppression d'un total de 1 050 emplois partout en France.