La Commission a constaté des écarts « significatifs et largement supérieurs aux écarts à la hausse et à la baisse constatés les années précédentes » au profit d'Engie, l'opérateur historique du gaz. Les tarifs réglementés doivent couvrir les frais de l'entreprise, assortis d'une petite marge. Il semble qu'Engie ait un peu trop profité de ces tarifs : en 2016, les recettes enregistrés par l'entreprise dans le domaine des prix réglementés ont été de 6,5% supérieures aux coûts supportés l'an dernier.
Le CRE estime ce pourcentage trop élevé, et demande une modulation de rattrapage des tarifs réglementés pour le 1er juillet. L'audit annuel préconise aussi une baisse supplémentaire liée à l'évolution des coûts hors approvisionnement anticipés par Engie. La Commission veut également revoir la formule qui permet de calculer, chaque mois, l'évolution des tarifs réglementés. Cette fois, il s'agit de mieux prendre en compte la variation des prix du pétrole.
Ce changement de la formule devrait provoquer là aussi une baisse des prix réglementés, s'il est mis en vigueur le 1er juillet. L'un dans l'autre, ce sont donc de bonnes nouvelles pour le consommateur qui va profiter d'un accroissement de la baisse de sa facture de gaz. Celle-ci a connu, depuis le début de l'année, un recul de l'ordre de 2%.
Le CRE estime ce pourcentage trop élevé, et demande une modulation de rattrapage des tarifs réglementés pour le 1er juillet. L'audit annuel préconise aussi une baisse supplémentaire liée à l'évolution des coûts hors approvisionnement anticipés par Engie. La Commission veut également revoir la formule qui permet de calculer, chaque mois, l'évolution des tarifs réglementés. Cette fois, il s'agit de mieux prendre en compte la variation des prix du pétrole.
Ce changement de la formule devrait provoquer là aussi une baisse des prix réglementés, s'il est mis en vigueur le 1er juillet. L'un dans l'autre, ce sont donc de bonnes nouvelles pour le consommateur qui va profiter d'un accroissement de la baisse de sa facture de gaz. Celle-ci a connu, depuis le début de l'année, un recul de l'ordre de 2%.