© Shutterstock/EconomieMatin
Partout en France, ce sont 150 rassemblements qui se sont formés pour contester le texte porté par la ministre du Travail, Myriam El Khomri. Ils étaient de 224 000 à 500 000 manifestants dans les rues, selon le ministère de l'Intérieur ou les syndicats.
À Paris, le mouvement a rassemblé de 27 000 à 100 000 personnes. En plus des organisations syndicales opposées au texte de loi, le mouvement a aussi été composé de lycéens et d'étudiants. Caroline de Haas, à l'origine de la pétition signée par plus d'un million de personnes, cette journée n'est que le début d'un mouvement : deux autres dates de mobilisation ont d'ailleurs été annoncées d'ici la fin du mois.
Le gouvernement ne peut donc plus ignorer l'ampleur de la contestation. Manuel Valls a déjà fait savoir qu'il était ouvert à des changements et des modifications, notamment pour deux dispositifs très polémiques, sur le plafonnement des indemnités prud'homales et les conditions des licenciements économiques. Le Premier ministre recevra de nouveau les syndicats lundi.
À Paris, le mouvement a rassemblé de 27 000 à 100 000 personnes. En plus des organisations syndicales opposées au texte de loi, le mouvement a aussi été composé de lycéens et d'étudiants. Caroline de Haas, à l'origine de la pétition signée par plus d'un million de personnes, cette journée n'est que le début d'un mouvement : deux autres dates de mobilisation ont d'ailleurs été annoncées d'ici la fin du mois.
Le gouvernement ne peut donc plus ignorer l'ampleur de la contestation. Manuel Valls a déjà fait savoir qu'il était ouvert à des changements et des modifications, notamment pour deux dispositifs très polémiques, sur le plafonnement des indemnités prud'homales et les conditions des licenciements économiques. Le Premier ministre recevra de nouveau les syndicats lundi.