(c) Shutterstock/EconomieMatin
L’affaire pourrait être annoncé ce mercredi 15 avril, durant une conférence de presse commune. Nokia guigne toutes les activités de la société franco-américaine, pas seulement les réseaux mobiles comme la rumeur l’avait annoncé. De fait, les négociations entre ces deux groupes spécialistes des télécoms ont débuté dès l’été 2013, mais les négociations sérieuses n’ont véritablement commencé que l’été dernier.
Depuis, Alcatel-Lucent a mis en place un solide plan de restructuration pour juguler ses pertes et même si l’entreprise ne gagne pas d’argent, il s’agit désormais d’un parti intéressant pour Nokia. La nouvelle entité, forte de 110 000 salariés, générerait un chiffre d’affaires de 26 milliards d’euros, dépassant le numéro un du secteur, Ericsson. Surtout, cette fusion ouvrirait grand les portes du marché américain pour Nokia, un secteur où le Finlandais n’a jamais réussi à s’imposer.
Cela renforcerait aussi Nokia sur sa place forte européenne, et relancerait l’entreprise sur les réseaux fixes. Reste maintenant à donner des gages aux régulateurs, puisque plusieurs métiers de Nokia et d’Alcatel-Lucent sont en concurrence, avec des risques sérieux de doublons.
Depuis, Alcatel-Lucent a mis en place un solide plan de restructuration pour juguler ses pertes et même si l’entreprise ne gagne pas d’argent, il s’agit désormais d’un parti intéressant pour Nokia. La nouvelle entité, forte de 110 000 salariés, générerait un chiffre d’affaires de 26 milliards d’euros, dépassant le numéro un du secteur, Ericsson. Surtout, cette fusion ouvrirait grand les portes du marché américain pour Nokia, un secteur où le Finlandais n’a jamais réussi à s’imposer.
Cela renforcerait aussi Nokia sur sa place forte européenne, et relancerait l’entreprise sur les réseaux fixes. Reste maintenant à donner des gages aux régulateurs, puisque plusieurs métiers de Nokia et d’Alcatel-Lucent sont en concurrence, avec des risques sérieux de doublons.