Alexis Tsipras, le Premier ministre grec, a mis les points sur les i alors que les négociations ont débuté. Pas question, pour le pays, d'accepter des exigences « illogiques » de la part de ses créanciers. La Grèce est sous la loupe des experts de l'UE et du FMI pour évaluer les réformes mises en place ces derniers mois. « Nous sommes prêts à discuter de tout dans le cadre de l'accord (de sauvetage) et dans la limite du raisonnable, mais pas de choses au-delà du cadre de l'accord ni au-delà de la raison », a déclaré Tsipras.
Le dirigeant pointe du doigt le comportement « lâche » du FMI qui voudrait imposer des exigences « absurdes, imaginaires, irréelles, peu importe, tant qu'elles permettent de faire croire que la Grèce est responsable de la décision déjà prise par le Fonds de ne pas financer le troisième plan d'aide à la Grèce ». Le FMI ne participe pas au financement du nouveau plan d'aide.
En attendant, les créanciers du pays veulent qu'Athènes mette en place de nouvelles réformes afin d'élargir l'assiette fiscale et de réduire le coût du système de retraites. La Grèce a procédé à onze révisions des pensions depuis 2010, et le gouvernement n'a aucune intention de retoucher une fois de plus à la baisse les retraites. Alexis Tsipras demande à toutes les parties de se montrer « plus prudentes » envers un pays « pillé » et un peuple « qui a fait
et continue de faire tant de sacrifices au nom de l'Europe ».
Le dirigeant pointe du doigt le comportement « lâche » du FMI qui voudrait imposer des exigences « absurdes, imaginaires, irréelles, peu importe, tant qu'elles permettent de faire croire que la Grèce est responsable de la décision déjà prise par le Fonds de ne pas financer le troisième plan d'aide à la Grèce ». Le FMI ne participe pas au financement du nouveau plan d'aide.
En attendant, les créanciers du pays veulent qu'Athènes mette en place de nouvelles réformes afin d'élargir l'assiette fiscale et de réduire le coût du système de retraites. La Grèce a procédé à onze révisions des pensions depuis 2010, et le gouvernement n'a aucune intention de retoucher une fois de plus à la baisse les retraites. Alexis Tsipras demande à toutes les parties de se montrer « plus prudentes » envers un pays « pillé » et un peuple « qui a fait
et continue de faire tant de sacrifices au nom de l'Europe ».