Plus de la moitié des Français préoccupés par l'inflation
Entre les hausses des prix de l'énergie, des biens et des services, le pouvoir d'achat subit une baisse qui inquiète plus de la moitié des Français (52%), selon le sondage réalisé par le cabinet Bonial. Il y a trois mois, d'après cette même enquête, ils étaient 48% à se dire préoccupés par l'inflation. Toutefois, pas question de sacrifier les vacances !
Seules 8% des personnes interrogées envisagent d'annuler leurs vacances. Un groupe un peu plus nombreux (14%) a néanmoins l'intention de réduire le budget vacances en changeant de lieu par exemple, ou encore de type de logement. Les Français ne sacrifieront pas non plus la restauration sur le lieu de villégiature : 7% seulement d'entre eux comptent faire des achats alimentaires avant le départ pour réaliser des économies.
Seules 8% des personnes interrogées envisagent d'annuler leurs vacances. Un groupe un peu plus nombreux (14%) a néanmoins l'intention de réduire le budget vacances en changeant de lieu par exemple, ou encore de type de logement. Les Français ne sacrifieront pas non plus la restauration sur le lieu de villégiature : 7% seulement d'entre eux comptent faire des achats alimentaires avant le départ pour réaliser des économies.
Les achats plaisir moins nombreux
En dehors des vacances, la prudence reste de mise. Un tiers des sondés va ainsi surveiller les promotions pour payer moins cher, quant 40% vont comparer les prix. Les dépenses contraintes, comme le loyer, les factures d'énergie, le remboursement des emprunts, pèsent toujours plus lourd dans le budget des Français : près de 80% d'entre eux estiment que ce poste de dépenses augmente.
Les consommateurs n'ont pas d'autre choix que de payer les dépenses contraintes. Ils doivent alors arbitrer sur le reste, les dépenses du quotidien et les « achats plaisir ». La même étude rapporte qu'avec un pouvoir d'achat supplémentaire de 500 euros, 195 seraient consacrés aux dépenses contraintes, 186 iraient vers l'épargne et 119 euros pour les dépenses « plaisir ».
Les consommateurs n'ont pas d'autre choix que de payer les dépenses contraintes. Ils doivent alors arbitrer sur le reste, les dépenses du quotidien et les « achats plaisir ». La même étude rapporte qu'avec un pouvoir d'achat supplémentaire de 500 euros, 195 seraient consacrés aux dépenses contraintes, 186 iraient vers l'épargne et 119 euros pour les dépenses « plaisir ».