L’action avait tout de même gagné 100% en quelques jours, grâce au phénomène planétaire Pokémon GO. La chasse aux créatures virtuelles avec un smartphone a envahi l’espace public et fait grimper les espoirs de juteux dividendes pour les actionnaires de l’éditeur. Mais ce que les investisseurs n’ont pas compris, c’est que Nintendo n’est impliqué que de loin dans cette vague. Le succès de Pokémon GO est d’abord à mettre au crédit de Niantic, une ancienne filiale de Google devenue indépendante, et de Pokémon Company, une entreprise dont Nintendo possède 32% des droits de vote.
Afin de calmer les esprits échauffés par la fièvre Pokémon GO, Nintendo a publié un communiqué rappelant que les retombées du jeu seraient limitées. Certes, l’éditeur « recevra des droits de licence ainsi qu'une indemnité pour sa collaboration dans le développement et la gestion de l'application ». Mais les résultats annuels ne sont pas modifiés « à ce stade ».
Le chiffre d’affaires devrait néanmoins doubler sur la période 2016-2017 à 35 milliards de yens (un peu plus de 300 millions d’euros), pour un chiffre d’affaires stable à 500 milliards de yens (4,3 milliards d’euros). Toutefois, le succès de Pokémon GO montre que Nintendo a finalement eu raison de se lancer sur le marché du jeu mobile, malgré les réticences du groupe.
Afin de calmer les esprits échauffés par la fièvre Pokémon GO, Nintendo a publié un communiqué rappelant que les retombées du jeu seraient limitées. Certes, l’éditeur « recevra des droits de licence ainsi qu'une indemnité pour sa collaboration dans le développement et la gestion de l'application ». Mais les résultats annuels ne sont pas modifiés « à ce stade ».
Le chiffre d’affaires devrait néanmoins doubler sur la période 2016-2017 à 35 milliards de yens (un peu plus de 300 millions d’euros), pour un chiffre d’affaires stable à 500 milliards de yens (4,3 milliards d’euros). Toutefois, le succès de Pokémon GO montre que Nintendo a finalement eu raison de se lancer sur le marché du jeu mobile, malgré les réticences du groupe.