Le ministre de l'Économie et des Finances a balayé les difficultés du moment : « Au-delà des problèmes du tourisme qui sont la conséquence en particulier d'actes terroristes, au-delà des interrogations sur, par
exemple, les conséquences du Brexit, nous aurons un troisième trimestre qui sera meilleur que le deuxième ». De l'optimisme donc, qui lui permet d'affirmer que la croissance sera de 1,5% en 2016.
Cette estimation n'est pas sortie de nulle part. C'est aussi la prévision de l'Insee et de la Banque de France, sur laquelle le gouvernement s'aligne donc pour le projet de finances 2017, dont le cadrage sera présenté ce mardi 20 septembre. Pour Michel Sapin, et pour le gouvernement tout entier, ce chiffre est important car il est synonyme de création d'emplois : à partir de 1,2%, « le chômage se stabilise et même s'inverse ».
Or, on sait à quel point il est important, pour François Hollande, que le chômage reflue, il en va en effet de sa candidature à un second mandat. Le ministre de l'Économie a également indiqué que le déficit public sera de 2,7% en 2016, ce qui devrait satisfaire Bruxelles — et ce, malgré les dépenses nouvelles engagées par l'exécutif.
exemple, les conséquences du Brexit, nous aurons un troisième trimestre qui sera meilleur que le deuxième ». De l'optimisme donc, qui lui permet d'affirmer que la croissance sera de 1,5% en 2016.
Cette estimation n'est pas sortie de nulle part. C'est aussi la prévision de l'Insee et de la Banque de France, sur laquelle le gouvernement s'aligne donc pour le projet de finances 2017, dont le cadrage sera présenté ce mardi 20 septembre. Pour Michel Sapin, et pour le gouvernement tout entier, ce chiffre est important car il est synonyme de création d'emplois : à partir de 1,2%, « le chômage se stabilise et même s'inverse ».
Or, on sait à quel point il est important, pour François Hollande, que le chômage reflue, il en va en effet de sa candidature à un second mandat. Le ministre de l'Économie a également indiqué que le déficit public sera de 2,7% en 2016, ce qui devrait satisfaire Bruxelles — et ce, malgré les dépenses nouvelles engagées par l'exécutif.