La rencontre entre les deux présidents récemment élus était évidemment attendu. Elle a donné lieu à un déjeuner de travail entre les dirigeants français et américain. Au menu : les crises internationales et l’accord de Paris sur le climat, signé par les États-Unis en décembre 2015 et que le nouvel occupant de la Maison Blanche n’est pas certain de remettre en cause.
La rencontre s’est déroulée à la résidence de l’ambassadeur des États-Unis à Bruxelles, où l’attendaient Donald Trump et sa femme, Melania. Le président américain n’a pas été avare de compliments envers son homologue français, dont il a salué la campagne « incroyable » qui lui a permis de remporter une « formidable victoire ». Il a également souligné que le monde entier avait parlé de cette élection, puis il a rappelé que les deux pays avaient de nombreux sujets à aborder.
Donald Trump a également assuré qu’il avait parié sur une victoire d’Emmanuel Macron, alors que les idées et le programme de Marine Le Pen sont plus proches de lui. Quant à Emmanuel Macron, il s’est dit « très heureux » de cette rencontre avant de déclarer : « On a un agenda extrêmement large à discuter au sujet de la lutte contre le terrorisme, l'économie, les sujets climatiques et énergétique ». L’échange d’une heure et demie, en anglais, a été direct et « très franc ».
La rencontre s’est déroulée à la résidence de l’ambassadeur des États-Unis à Bruxelles, où l’attendaient Donald Trump et sa femme, Melania. Le président américain n’a pas été avare de compliments envers son homologue français, dont il a salué la campagne « incroyable » qui lui a permis de remporter une « formidable victoire ». Il a également souligné que le monde entier avait parlé de cette élection, puis il a rappelé que les deux pays avaient de nombreux sujets à aborder.
Donald Trump a également assuré qu’il avait parié sur une victoire d’Emmanuel Macron, alors que les idées et le programme de Marine Le Pen sont plus proches de lui. Quant à Emmanuel Macron, il s’est dit « très heureux » de cette rencontre avant de déclarer : « On a un agenda extrêmement large à discuter au sujet de la lutte contre le terrorisme, l'économie, les sujets climatiques et énergétique ». L’échange d’une heure et demie, en anglais, a été direct et « très franc ».