Une réunion a été organisée entre la direction et les principales organisations syndicales du groupe – en particulier l’Unsa, la CGT et la CFDT. La proposition du groupe est claire : favoriser les départs volontaires, et ne pas faire appel aux licenciements secs jusqu’en 2019. La carotte est le versement de deux à trois mois de salaire pour chaque année d’ancienneté.
Une proposition qui ressemble au plan de restructuration de 2012. Il n’y aura donc pas de plan social à proprement parler, mais des incitations pour pousser au volontariat. L’objectif reste toujours de se séparer de 5 000 salariés en moins, mais en limitant autant que possible la casse sociale. Nul doute qu’un tel discours a l’oreille du gouvernement, qui ne souhaite pas ouvrir un nouveau front social.
Quoi qu’il en soit, pour le moment rien n’est acté et les syndicats n’ont évidemment rien signé. La négociation n’a rien d’abouti, indique la CFDT. La CGT rappelle de son côté que sur les 18 derniers mois, il y a eu 1 200 départs alors que la direction avait assuré qu’il n’y aurait aucun licenciement.
Une proposition qui ressemble au plan de restructuration de 2012. Il n’y aura donc pas de plan social à proprement parler, mais des incitations pour pousser au volontariat. L’objectif reste toujours de se séparer de 5 000 salariés en moins, mais en limitant autant que possible la casse sociale. Nul doute qu’un tel discours a l’oreille du gouvernement, qui ne souhaite pas ouvrir un nouveau front social.
Quoi qu’il en soit, pour le moment rien n’est acté et les syndicats n’ont évidemment rien signé. La négociation n’a rien d’abouti, indique la CFDT. La CGT rappelle de son côté que sur les 18 derniers mois, il y a eu 1 200 départs alors que la direction avait assuré qu’il n’y aurait aucun licenciement.