Le chiffre d'affaires de Renault s'établi pour le troisième trimestre à 10,55 milliards d'euros (dont 9,9 milliards pour l'activité automobile), ce qui représente une croissance de 13% par rapport au même trimestre de l'année précédente. Les volumes sont en hausse de 10,7%. Entre début juillet et fin septembre, le constructeur a vendu 721 741 véhicules : un chiffre là aussi en forte progression, de 16%… alors que la croissance mondiale a été de 5%.
Le marché européen est bien orienté avec des immatriculations en hausse de 11,3%. En Europe, Renault gagne 0,5% de part de marché grâce au maintien des ventes de plusieurs modèles emblématiques, dont le Captur, la Clio 4, et aussi la marque d'entrée de gamme Dacia. Mais c'est en dehors du vieux continent que la croissance est impressionnante : la hausse des immatriculations est de 21,5% ! La zone Afrique Moyen-Orient Inde affiche en forme olympique avec une progression des ventes de 85%.
Renault peut donc s'appuyer sur le marché international pour gagner des parts de marché et multiplier les ventes de ses véhicules. Les objectifs du groupe pour 2016 sont donc confirmés et largement à portée de l'entreprise. Renault s'était fixé plusieurs buts : un chiffre d'affaires en hausse, améliorer la marge opérationnelle et générer un free cash flow pour l'activité automobile.
Le marché européen est bien orienté avec des immatriculations en hausse de 11,3%. En Europe, Renault gagne 0,5% de part de marché grâce au maintien des ventes de plusieurs modèles emblématiques, dont le Captur, la Clio 4, et aussi la marque d'entrée de gamme Dacia. Mais c'est en dehors du vieux continent que la croissance est impressionnante : la hausse des immatriculations est de 21,5% ! La zone Afrique Moyen-Orient Inde affiche en forme olympique avec une progression des ventes de 85%.
Renault peut donc s'appuyer sur le marché international pour gagner des parts de marché et multiplier les ventes de ses véhicules. Les objectifs du groupe pour 2016 sont donc confirmés et largement à portée de l'entreprise. Renault s'était fixé plusieurs buts : un chiffre d'affaires en hausse, améliorer la marge opérationnelle et générer un free cash flow pour l'activité automobile.