Les choses devraient toutefois rentrer dans l'ordre dans les prochains jours. La CGT, qui avait appelé au mouvement, a en effet appelé à l'arrêt de la grève suite à une réunion des syndicats impliqués, ce mercredi 31 mai au ministère des Transports. Au menu des discussions : les conditions de travail et les rémunérations dans le secteur.
Les chauffeurs en grève veulent voir reconnaitre la « spécificité » de leur métier et du transport de matières dangereuses comme le carburant et les produits chimiques. Ils exigent entre autres une durée journalière du travail de 10 heures maximum, un taux horaire de 14 euros de l'heure, un treizième mois, ainsi qu'un suivi médical semestriel. La réunion avec les autorités a permis de mettre en place un calendrier pour les négociations.
Ainsi, une table ronde sera organisée le 16 juin sur les thèmes de la santé et de la sécurité. Puis des discussions sur les salaires prendront place à partir du 19 juin. En attendant, l'approvisionnement a repris ce jeudi, mais tous les dépôts de carburants d'Ile-de-France ne seront pas forcément opérationnels immédiatement, prévient l'Ufip, l'Union de l'industrie pétrolière.
Les chauffeurs en grève veulent voir reconnaitre la « spécificité » de leur métier et du transport de matières dangereuses comme le carburant et les produits chimiques. Ils exigent entre autres une durée journalière du travail de 10 heures maximum, un taux horaire de 14 euros de l'heure, un treizième mois, ainsi qu'un suivi médical semestriel. La réunion avec les autorités a permis de mettre en place un calendrier pour les négociations.
Ainsi, une table ronde sera organisée le 16 juin sur les thèmes de la santé et de la sécurité. Puis des discussions sur les salaires prendront place à partir du 19 juin. En attendant, l'approvisionnement a repris ce jeudi, mais tous les dépôts de carburants d'Ile-de-France ne seront pas forcément opérationnels immédiatement, prévient l'Ufip, l'Union de l'industrie pétrolière.