Quoi qu’il arrive, Guillaume Pepy ne sera plus le président de la SNCF en janvier 2020. Dans une interview au Journal du Dimanche, il confirme qu’il ne se représentera pas pour un troisième mandat. Il partira donc à l’aube de l’ouverture à la concurrence du train, avec une SNCF délestée de sa dette (reprise par l’État), et avec un nouveau contrat social. Les huit mois qui lui reste ne seront pas pour autant inactifs. L’entreprise va ainsi lancer, dans quatre régions, une expérimentation de vente de billets de train chez les buralistes. « 95 % des voyageurs ont accès à une gare disposant d’une solution de vente. Notre défi est d’agir pour les 5 % restants », explique-t-il.
Très focalisé sur le train du quotidien et les territoires, Guillaume Pepy l’affirme également : « Soyons clairs, il n’y a pas de plan de fermeture des petites lignes ». Une crainte pour de nombreux élus locaux… La SNCF doit cependant « entretenir et moderniser ces lignes pour qu’elles coûtent moins cher », même s’il relève que « des réouvertures [ont été] passées sous silence ». On ne se parle jamais des trains qui arrivent à l’heure… La modernisation du matériel est également visible sur des trajets comme Paris-Clermont-Ferrand et Paris-Limoges-Toulouse, qui vont bénéficier bientôt de « rames plus rapides ».
L’État a effectivement commandé 26 trains neufs (pour un montant de 700 millions d’euros) capables de rouler à 200 km/h. Guillaume Pepy répond également à une des plaintes d’usagers beaucoup entendues : le prix des billets. Il met en avant les nouvelles cartes de fidélisation qui entreront en vigueur le 9 mai. En ce qui concerne le retard des TER, le président de la SNCF assure que leur régularité mesurée depuis cinq moins montre qu’elle n’a « jamais été aussi bonne depuis dix ans ».
Très focalisé sur le train du quotidien et les territoires, Guillaume Pepy l’affirme également : « Soyons clairs, il n’y a pas de plan de fermeture des petites lignes ». Une crainte pour de nombreux élus locaux… La SNCF doit cependant « entretenir et moderniser ces lignes pour qu’elles coûtent moins cher », même s’il relève que « des réouvertures [ont été] passées sous silence ». On ne se parle jamais des trains qui arrivent à l’heure… La modernisation du matériel est également visible sur des trajets comme Paris-Clermont-Ferrand et Paris-Limoges-Toulouse, qui vont bénéficier bientôt de « rames plus rapides ».
L’État a effectivement commandé 26 trains neufs (pour un montant de 700 millions d’euros) capables de rouler à 200 km/h. Guillaume Pepy répond également à une des plaintes d’usagers beaucoup entendues : le prix des billets. Il met en avant les nouvelles cartes de fidélisation qui entreront en vigueur le 9 mai. En ce qui concerne le retard des TER, le président de la SNCF assure que leur régularité mesurée depuis cinq moins montre qu’elle n’a « jamais été aussi bonne depuis dix ans ».