Ce résultat marque une stagnation relative par rapport au « saut à la relocation » mesurée en 2015, qui avait été de 1%. Ces chiffres sont tirés des résultats provisoires de l’enquête annuelle de l’Olap, l’Observatoire des loyers de l’agglomération parisienne, une étude dont on connaitra les enseignements définitifs en juin. La hausse des loyers à la relocation à Paris reste néanmoins plus élevée que dans le reste de l’Ile-de-France.
L’Observatoire a ainsi calculé une progression des prix à la relocation de 0,4% seulement dans l’ensemble de l’Ile-de-France, avec de fortes variations entre la petite couronne (+0,2%) et la grande couronne (-0,4%). À la relocation l’an dernier, le mètre carré parisien coûtait en moyenne 24,90 euros, contre 24,80 euros en 2015. Dans l’agglomération parisienne, le prix du mètre carré est de 19,40 euros. Une « décélération très nette », selon l’Olap, qui relève tout de même une « persistance de la tension » sur les prix.
Parmi les raisons qui modèrent le saut à la relocation, on trouve l’encadrement des loyers de la loi Alur, en vigueur depuis 2015 et dont l’impact reste difficile à mesurer. Les décrets publiés chaque été depuis 2012 concernant la limitation de la hausse des loyers à la relocation sont plus sûrement à l’origine de la modération des prix à Paris.
L’Observatoire a ainsi calculé une progression des prix à la relocation de 0,4% seulement dans l’ensemble de l’Ile-de-France, avec de fortes variations entre la petite couronne (+0,2%) et la grande couronne (-0,4%). À la relocation l’an dernier, le mètre carré parisien coûtait en moyenne 24,90 euros, contre 24,80 euros en 2015. Dans l’agglomération parisienne, le prix du mètre carré est de 19,40 euros. Une « décélération très nette », selon l’Olap, qui relève tout de même une « persistance de la tension » sur les prix.
Parmi les raisons qui modèrent le saut à la relocation, on trouve l’encadrement des loyers de la loi Alur, en vigueur depuis 2015 et dont l’impact reste difficile à mesurer. Les décrets publiés chaque été depuis 2012 concernant la limitation de la hausse des loyers à la relocation sont plus sûrement à l’origine de la modération des prix à Paris.