Les sushis dégringolent au classement du snaking
En effet, alors qu'ils occupaient auparavant une place de choix dans le cœur des consommateurs, les sushis se voient aujourd'hui détrônés par des mets comme les kebabs et les paninis, signe d'un changement de tendance dans les habitudes alimentaires.
L'étude indique qu'actuellement, seulement 15% des Français consomment des sushis, une proportion bien inférieure à celle des pizzas (49%), des burgers (34%), et même des kebabs (29%). Cette érosion de la popularité des sushis peut être attribuée à plusieurs facteurs, notamment l'augmentation du coût de certains ingrédients clés comme le saumon, ce qui a pour conséquence d'accroître le prix moyen d'un repas à base de sushis.
En outre, le secteur du sushi semble souffrir d'un manque d'innovation, notamment en comparaison avec d'autres segments de la restauration rapide qui continuent d'évoluer et de diversifier leur offre.
Parallèlement à ce déclin, l'étude met en lumière une diversification des intérêts culinaires en France, avec une montée en puissance de plats asiatiques autres que le sushi, tels que le pad thaï, le bo bun ou encore le ramen. Ces nouvelles préférences reflètent un élargissement du spectre des choix disponibles pour les consommateurs, désireux d'explorer de nouvelles saveurs et cuisines.
L'étude indique qu'actuellement, seulement 15% des Français consomment des sushis, une proportion bien inférieure à celle des pizzas (49%), des burgers (34%), et même des kebabs (29%). Cette érosion de la popularité des sushis peut être attribuée à plusieurs facteurs, notamment l'augmentation du coût de certains ingrédients clés comme le saumon, ce qui a pour conséquence d'accroître le prix moyen d'un repas à base de sushis.
En outre, le secteur du sushi semble souffrir d'un manque d'innovation, notamment en comparaison avec d'autres segments de la restauration rapide qui continuent d'évoluer et de diversifier leur offre.
Parallèlement à ce déclin, l'étude met en lumière une diversification des intérêts culinaires en France, avec une montée en puissance de plats asiatiques autres que le sushi, tels que le pad thaï, le bo bun ou encore le ramen. Ces nouvelles préférences reflètent un élargissement du spectre des choix disponibles pour les consommateurs, désireux d'explorer de nouvelles saveurs et cuisines.
Des préférences différentes selon les générations
Intéressant à noter, malgré cette tendance générale, les sushis conservent une certaine popularité auprès de la génération Z. En effet, 22% des 18-25 ans déclarent consommer des sushis, une proportion nettement supérieure à la moyenne nationale. Ce constat suggère que, même si les sushis perdent du terrain dans l'ensemble, ils restent une option privilégiée parmi les jeunes consommateurs.
Au-delà de la situation particulière des sushis, l'étude Speak Snacking 2024 offre un aperçu global du marché du snacking en France, soulignant une croissance continue du secteur. En 2023, le chiffre d'affaires de la restauration rapide a enregistré une hausse de 11,2%, représentant désormais 38% du chiffre d'affaires total de la restauration commerciale. Cette progression témoigne de l'appétit grandissant des Français pour les options de repas rapides et pratiques, avec une préférence marquée pour les pizzas, les burgers, et désormais, les kebabs, qui gagnent en popularité.
L'étude révèle également une volonté des consommateurs de dépenser davantage pour certaines catégories de produits, reflétant une tendance à la « premiumisation » de la restauration rapide. Par exemple, le prix moyen que les Français sont prêts à payer pour une pizza atteint 13,25 euros, tandis que le kebab, en dépit de son ascension récente, demeure une option plus économique.
Au-delà de la situation particulière des sushis, l'étude Speak Snacking 2024 offre un aperçu global du marché du snacking en France, soulignant une croissance continue du secteur. En 2023, le chiffre d'affaires de la restauration rapide a enregistré une hausse de 11,2%, représentant désormais 38% du chiffre d'affaires total de la restauration commerciale. Cette progression témoigne de l'appétit grandissant des Français pour les options de repas rapides et pratiques, avec une préférence marquée pour les pizzas, les burgers, et désormais, les kebabs, qui gagnent en popularité.
L'étude révèle également une volonté des consommateurs de dépenser davantage pour certaines catégories de produits, reflétant une tendance à la « premiumisation » de la restauration rapide. Par exemple, le prix moyen que les Français sont prêts à payer pour une pizza atteint 13,25 euros, tandis que le kebab, en dépit de son ascension récente, demeure une option plus économique.