Hausse des touristes
Pour la deuxième année consécutive, le nombre de Français qui veulent profiter des vacances de la Toussaint (entre le 19 octobre et le 3 novembre) pour partir est en hausse : ils étaient 20% l'an dernier, ils sont 22% en 2019. Le baromètre Mondial Assistance/Opinion Way indique que les Français désireux de partir en vacances seront 70% à voyager dans l'Hexagone, soit 8 points de moins qu'en 2018. 20% iront en Europe, 6% en Afrique. Les destinations plus lointaines, comme l'Asie ou l'Amérique du Sud, sont peu plébiscitées.
Les Français qui vont voyager en Europe prévoient de se rendre dans pays du nord du continent, comme l'Écosse, la Norvège, l'Islande. Une bonne partie d'entre eux choisiront plutôt des destinations ensoleillées, comme l'Italie, l'Espagne ou encore le Portugal. Ces pays devraient ainsi redresser leur saison estivale, que les Français ont plutôt boudés.
Les Français qui vont voyager en Europe prévoient de se rendre dans pays du nord du continent, comme l'Écosse, la Norvège, l'Islande. Une bonne partie d'entre eux choisiront plutôt des destinations ensoleillées, comme l'Italie, l'Espagne ou encore le Portugal. Ces pays devraient ainsi redresser leur saison estivale, que les Français ont plutôt boudés.
Un budget moyen en baisse
Le baromètre donne également le budget moyen consacré aux vacances de la Toussaint : il s'établit à 716 euros, contre 735 euros en 2018. Une enveloppe en baisse de 19 euros d'une année sur l'autre, qui ne devrait pas avoir vraiment d'impact. Ce d'autant que la grande majorité des Français choisira la France comme destination de prédilection.
Les Français qui voyageront pendant les vacances feront le choix de la voiture pour 36% d'entre eux. 13% préfèrent des alternatives collaboratives, notamment le covoiturage. La prise de conscience des enjeux liés à l'environnement pousse bon nombre d'entre eux à choisir le train… malgré le mouvement social qui a grippé les premiers départs à la SNCF.
Les Français qui voyageront pendant les vacances feront le choix de la voiture pour 36% d'entre eux. 13% préfèrent des alternatives collaboratives, notamment le covoiturage. La prise de conscience des enjeux liés à l'environnement pousse bon nombre d'entre eux à choisir le train… malgré le mouvement social qui a grippé les premiers départs à la SNCF.