© Shutterstock/EconomieMatin
50 minutes, c'est 10 minutes de plus qu'en 1998. Il y a 17 ans, l'aller-retour entre le domicile et le travail demandait en effet 40 minutes seulement. Pourquoi un tel différentiel ? Le ministère explique que les distances à parcourir sont certes plus courtes, mais les trajets sont plus difficiles : entre les embouteillages qui ralentissent la circulation et le nombre toujours plus élevé des solutions de transports en commun qui vont moins vite que les véhicules particuliers, le temps de trajet a effectivement augmenté.
En Ile-de-France, la moyenne est même beaucoup plus élevé, puisque les actifs mettent en moyenne 68 minutes pour faire l'aller-retour (soit 35% de plus que dans le reste du pays). En France, ils sont 31% à mettre entre une demi-heure et moins d'une heure pour aller au travail et en revenir. Pour 17% d'entre-eux, c'est moins… d'un quart d'heure.
Les actifs sont 75% à utiliser leur voiture personnelle pour se rendre au bureau, tandis que ceux qui empruntent les transports en commun sont toujours moins nombreux : ils étaient 17% en 1998, ils ne sont plus que 7% désormais. Enfin, près d'un tiers des personnes accomplissent non pas un aller-retour dans la journée, mais plusieurs. Les horaires de plus en plus élastiques obligent en effet à revenir deux ou trois fois à la maison.
En Ile-de-France, la moyenne est même beaucoup plus élevé, puisque les actifs mettent en moyenne 68 minutes pour faire l'aller-retour (soit 35% de plus que dans le reste du pays). En France, ils sont 31% à mettre entre une demi-heure et moins d'une heure pour aller au travail et en revenir. Pour 17% d'entre-eux, c'est moins… d'un quart d'heure.
Les actifs sont 75% à utiliser leur voiture personnelle pour se rendre au bureau, tandis que ceux qui empruntent les transports en commun sont toujours moins nombreux : ils étaient 17% en 1998, ils ne sont plus que 7% désormais. Enfin, près d'un tiers des personnes accomplissent non pas un aller-retour dans la journée, mais plusieurs. Les horaires de plus en plus élastiques obligent en effet à revenir deux ou trois fois à la maison.