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Et d'investissements, il est encore question mais… dans l'autre sens. Le géant de l'automobile Tata a en effet mis 100 millions de dollars sur la table pour se faire une place au sein du capital d'Uber. C'est une première pour le géant industriel, qui n'a jamais investi ailleurs que dans des entreprises basées en Inde. Au passage, Tata est désormais le plus important partenaire du spécialiste du VTC en Inde…
Uber connait pourtant, en Inde comme ailleurs, des controverses. À New Delhi par exemple, un chauffeurs travaillant pour la société a été accusé de viol, ce qui a entraîné le retrait de la licence d'Uber durant plusieurs mois. L'entreprise n'en poursuit pas moins son implantation : elle compte 150 000 chauffeurs et elle représente déjà 35% du marché indien. Uber est présent dans 18 villes, mais c'est encore insuffisant pour concurrencer le VTC local, Ola, qui est lui dans 65 villes.
L'Inde est tout simplement le premier marché étranger pour Uber, hors États-Unis. Un statut particulier qui nécessite des investissements toujours plus importants : la société va ainsi injecter un milliard de dollars pour continuer de s'implanter au pays.
Uber connait pourtant, en Inde comme ailleurs, des controverses. À New Delhi par exemple, un chauffeurs travaillant pour la société a été accusé de viol, ce qui a entraîné le retrait de la licence d'Uber durant plusieurs mois. L'entreprise n'en poursuit pas moins son implantation : elle compte 150 000 chauffeurs et elle représente déjà 35% du marché indien. Uber est présent dans 18 villes, mais c'est encore insuffisant pour concurrencer le VTC local, Ola, qui est lui dans 65 villes.
L'Inde est tout simplement le premier marché étranger pour Uber, hors États-Unis. Un statut particulier qui nécessite des investissements toujours plus importants : la société va ainsi injecter un milliard de dollars pour continuer de s'implanter au pays.