Cette interdiction de l’application mobile sur toute la péninsule signifie la fin des différents services du géant américain du VTC en Italie. Fini donc Uber X, XL, Black, SUV… Ce jugement réjouit bien évidemment les associations de taxis à l’origine des plaintes : la bagarre judiciaire a débuté en 2015. Et c’est la quatrième fois que la justice prend fait et cause pour les chauffeurs de taxi.
Uber, qui n’a plus le droit non plus de faire la promotion de ses services, a été reconnu coupable de « la forme la plus frappante de concurrence déloyale jamais vue sur le marché du transport italien », se réjouissent les plaignants. Les avocats de la filiale italienne du groupe américain se disent « choqués » par cette interdiction et ils indiquent qu’ils feront appel.
« Nous allons faire appel de ce jugement basé sur une loi vieille de 25 ans. Le gouvernement italien ne peut plus perdre de temps et doit désormais décider s'il veut rester ancré dans le passé ou s'il veut permettre aux Italiens de bénéficier des nouvelles technologies », expliquent-ils au Corriere della Serra. Ils ont dix jours pour s’exécuter, au risque ensuite d’exposer Uber à une amende de 10 000 euros par jour.
Uber, qui n’a plus le droit non plus de faire la promotion de ses services, a été reconnu coupable de « la forme la plus frappante de concurrence déloyale jamais vue sur le marché du transport italien », se réjouissent les plaignants. Les avocats de la filiale italienne du groupe américain se disent « choqués » par cette interdiction et ils indiquent qu’ils feront appel.
« Nous allons faire appel de ce jugement basé sur une loi vieille de 25 ans. Le gouvernement italien ne peut plus perdre de temps et doit désormais décider s'il veut rester ancré dans le passé ou s'il veut permettre aux Italiens de bénéficier des nouvelles technologies », expliquent-ils au Corriere della Serra. Ils ont dix jours pour s’exécuter, au risque ensuite d’exposer Uber à une amende de 10 000 euros par jour.